Intoduction Générale
La dernière décennie a été,
incontestablement, celle d’un changement radical dans l’économie mondiale
.Mondialisation, globalisation internationalisation financière, libéralisation
ou déréglementation y ont été les maîtres mots et sont allés même vers le sens
de sa dénaturalisation.
C’est
ainsi qu’on a pu assister à un développement incessible de la part de
l’immatériel dans cette économie et à une croissance encore plus rapide « l’expansion
permettante du capitalisme » continue sa coure et la société industrielle
qui n’est plus aujourd’hui un nouveau mode de production vient annoncer la
révolution : la société de l’information s’installe parmi nous et l’économie
est devenue dorénavant dénouée nouvelle, virtuelle cybernétique ou de demain.
Commerce
mondial lui aussi n’a pas été épargné par cette dématé et cette croissance rapide
.
Désormais, il est devenue pour une
grande partie immatériel troublant ce fait , toutes méthodes deprévision, de
taxation ou d’agrégation.
En profitant des nouvelless générations
de technologie c’est ainsi qu’on assistera a un paogression ex ponentielle des
technologies de l’information et des communications, chose qui aura un impact
fort sur l’économie et même suir la croissance, c’est donc l’apparition du « commerce
électronique » qui sera aujourd’hui un facteur très important pour la
compétitivité des entreprises et de l’économie .
Aujourd’hui encore on ne cesse de confirmer que toute entreprise devrait
gagner à faire du commerce électronique le plutôt –possible et à profiter des opportunités offerts par la
nouvelle économique en terme de productivité, de compétitivité, de croissance
et d’emploi, surtout avec l’exlploitation rendue désormais plus facile de
l’information .
Avec l’avènement d’internet et du world wide wed le village global, dans
le sens de marshall Mc Luhan, a peut-être déjà pris forme et la communication
n’est semble t-il plus limitée ni dans l’espace ni dans le temps.
Dans ce travail nous allons essayer d’effectuer dans une première partie
une synthèse générale sur tous ce qui concerne le commerce virtuelle on passant
d’abord par une discription complète du commerce élctronique (C.E ) en
tant qu’une priorité pour ler développement économique et en tant
qu’infrastructure essentielle, en suite le commerce sur Internet comme une
plate –forme pour le “C.E “, en fin nous aborderons l’aspect juridique
du “C.E “.
Dans la deuxième partie nous allons étudier l”’impact de cette troisième
vague sur notre économie, en tant qu’une nouvelle organisation qui se développe
sur le marché marocain, en partant des différents résultats réalisés dans ce
domaine.En fin nous aborderons l’aspect réglementaire qu’est entrain de se
mettre en place dans notre pays .
Partie
1 :
Les
supports du commerce virtuel
Chapitre I
: comprendre le commerce
électronique
«L’histoire de l’humanité est
habituellement décrite en termes d’âge…;Aujourd’hui il est généralement admis
qu’avons d’entamer une nouvelle ère,une étape poste-industrielle ou la capacité
d’utiliser l’information est devenue décisive….;ce nouvel âge est désormais
nommé âge de l’information».
Cette publicité de la firme
américaine IBM ne date pas l’explosion d’Internet,mais de 1980 .
L’usine a produit de
l’imaginaire autour de l’information”nouvelle ressourse immatérielle”tournait déjà
plein régime.
L’impératif de «sortir
de la crise» convoquait les nouvelles technologies au chevet des économies des
grands pays industriels.La notion de «société de l’information»apparaîssait
dans les programmes de recherche des gouvernements et des institutions
internationales. A l’organisation de coopération et de développement économique
(OCDE),dés 1975,et au sein de l’union européenne,quatre ans plus tard.
Avec l’essor des
déréglementations et des privatisations,les mythes de l’âge de l’information
vont croiser la vie de « l’âge globale ». En mars 1994,la vice-
président des Etats-Unis,Mr.ALBERT GORE, annonce son projet d’infraroutes, ou
global information infrastracture.Faisant miroiter aux yeux de la«grande
famille humaine»la promesse d’une nouvelle agora athénienne,c’est aussi l’année
ou pour la première fois apparaît dans les discours officiels la notion de
cette nouvelle économie.
En
février 1995 les pays les plus riches,au sein du G7 entrainant à Bruxelles le
concept de « global société of information »,en même temps
qu’ils décident d’accèder la libération des marchés des télécommunications.
En fin, au sommet européen de lisbone, en mai
2004 les quinze décident de tout miser en matière de développement sur
l’Internet.
Tout comme l’arrivée des moyens de transport
peu onéreux au milieu du XIX ème siècle, a transformé le commerce d’hier
d’outil électronique permettant d’acheminer les services de facon bien plus
efficaces plus immédiate et plus universelle transformera le commerce et
distribution d’aujourd’hui.
Ce
boulversemrnt sans précédent, issu de la convergence entre l’information, les
télécommunications et le savoir, concerne tous les aspects de la chaîne des
valeurs des entreprises. Il implique de repenser ce que les entreprises vendent
et les démarches commerciales qu’elles utilisent pour assurer le point de
contact entre les produits ou les services et les achteurs.
Le commerce éléctronique va ainsi offrir aux
entreprises de nouvelles possibilités de communication avec leurs clients, leurs
fournisseurs et leurs partenaires, et modifiera lers marchés. Il contribuera à
modifier le coût des «facteurs de production».(Matière première,conception,marketing
coût d’acquisition de la clientèle…;)dans la mesure ou:
*Les caractéristiques des produits et services pourront être
virtualisées(la personnalisation d’un produit ou d’un service par exemple).
*Les coûts de distribution s’en trouvront fondamentalement modifiés.
Loin
d’être une mode, le commerce éléctronique constituera, sans aucun doute, un
boulversement sans précèdent du monde des affaires y compris dans les services
financiers. Il correspond à la troisième vague de transformation induit par le progrès
technologique. Après le transactionnel,qui permis l’automatisation des taches
et le client/serveur, qui induit la reconfiguration des processus.
Cette
vague, à la différence de ces précédentes, concernera à la fois les activités
internes et administratives des entreprises, mais également et surtout leurs
relations avec leurs clients, fournisseurs et partenaires.
En fait le commerce éléctronique s’est
développé d’une manière très rapide et il est devenu un facteur important pour
la compétitivité des entreprises et de l’économie,mais malgré cela sa notion
reste mal comprise. La plupart des agents économiques voient le commerce
éléctronique juste comme la vente d’un produit entre un producteur et un
consommateur par le biais d’Internet.
Dans ce qui suit, nous allons essayer de
définir le concept du commerce éléctronique en mettant l’accent sur les
différentes relations entre les acteurs économiques,pour ensuite passer à «présenter
les différents avantages qu’il offre aux économies.
Enfin nous allons voir les technologies et
infrastructures essentielles de ce commerce virtuel.
Sections1:Qu’est ce que le commerce électronique?
Paragraphe1-Définition du e-commerce:
Comme pour
beaucoup de services nouveaux, simplement définir ce qui constitue «le commerce
électronique» ou appelé courramment «e-commerce» n’est pas une tâche facile et
les définitions existantes varient notablement d’une source à l’autre. Pour
compliquer encore le problème, beaucoup de sources n’offrent aucune définition
et souvent ne spécifient même pas la couverture géographique de leurs estimations
des activités de commerce électronique. La figure1 présente une typologie des
définitions du e-commerce, don’t les plus larges englobent toutes les
transactions électroniques y compris les régalements et transferts
électroniques de fonds et les transactions par carte de crédit, vient en suite
l’infrastracture nécessaire au fonctionnement du e-commerce (équipements,fournisseurs
d’accès services intermidiaires spécialisés dans le commerce électronique). Au
dessus, la plupart des définitions couvrent les transactions électroniques
inter-entreprise, puis grand public (entre une entreprise et un consommateur)et
pour les plus étroites, le commerce électronique grand public ou la transaction
comprend une forme ou une autre de paiement électronique.
Différents définitions du commerce
électronique.
Figure I : « Le commerce
électronique est la conduite d’affaires qui entraînent un échange de valeur à
travers les réseaux de télécommunication » (EITO, 2000).
«Le commerce électronique
désigne en général toutes les formes de transactions commerciales associant les
particuliers et les organisations, qui reposent sur le traitement et la
transmission de données numérisées, notamment texte, son et image (OCDE, 2000.)
Le commerce électronique
permet de faire des affaires électroniquement. Il est fondé dur le traitement électronique et la transmission de données, y
compris textuelles, sonores et vidéos, il couvre des activités multiples et
divers et notamment le commerce des biens et services ,la livraison en ligne
d’inflammations numériques, les transferts électroniques de fonds, les
activités boursières, électronique, le connaissement électronique, les enchères
commerciales ,la conception en collaboration et l’ingénierie ,le sourcage en
ligne des marches publics, la vente directe aux consommateurs et les services
après-vente il concerne tout les produits (bien de consommation, équipement
médical spécialisé, par exemple), les activités «traditionnelles »(soins
de santé, éducation par exemple) et des
activités « nouvelles »(centre commerciaux virtuels, par
exemple)(commission européen 2000).
Toutes les definitions de la figure 1 ont une
large extention couvrant non seuleument la transaction commerciale elle-même
entre l’acheteur et le vendeur, mais aussi les activités en amont et en aval
qui rendent cette transaction possible. Si l’on appliquait une définition
similaire au commerce détail traditionnel, elle inclurait tous les coûts associés
à la construction des magasins, l’activité bancaire liée au commerce de détail,
toutes les activités juridiques consacrées aux questions de droit touchant au
commerce de détail et dans bien des cas, le coût de transport a destination et
en provenance du magasin. Les transferts électroniques de fond représentent a
eux seul plus de 2000 milliards de dollars d’activité quotidien.
Le rapport de Francis Lorentz remis le
janvier 1998, au ministre francais de l’economie, des finances et de
l’industrie, tenté de definir le commerce électronique comme l’ensemble des
échanges numérisés liés aux activités commerciales il s’agit donc aussi bien de
relations inter-entreprises que de relations entre entreprise et consommateurs
et entre entrprise et administration.
On voit donc qu’une fois de plus le commerce
s’est élargi a une autre, l’échange de biens à tout échange permettant
d’atteindre l’objectif de vente processus commercial.
Paragraphe 2-Commerce électronique
entre les acteurs économiques :
1-le commerce électronique inter-entreprises :
Les produits des technologies de
l’informaion (routeurs,ordinateurs et logiciel) et les services de voyage sont
deux secteurs inter-entreprises majeurs qui commercent sur l’internet. Donc le
commerce électronique du type
« business to business » désigne l’achat auprés de
fournisseurs de biens,ainsi que la vente
de biens et la fourniture.
De services, d’aides à la décision,
d’échange de données informatisées(EDI), ou l’accès à des bases de données
spécialisées.
En fait les échanges se sont largement
développés depuis le début des années 1990,leurs précurseurs ont été le secteur
financier le transfert éléctronique de fonds, la transmission d’ordres et
d’information financière(REUTER).
Aujourd’huit les échanges inter-entreprises
constituent l’essentiel du e-Commerce. Selon
forrester research ce commerce a présenté 85% du commerce électronoque
des Etats-Unis en 1988, et devrait atteindre 92% en l’an 2003, aussi d’ici la
fin de l’an 2003 il représenterait 60% du total du e-commerce mondial.
CISCO, fournisseur dominant de routeurs de
réseau avec plus des 2/3 du marché, indique qu’il va enregistrer en 2000 un
chiffre d’affaires de 23 milliard de dollars sur son site Web (il s’agit de
commandes passées sur son site Web,mais les paiements ont lieu hors ligne).
Des constructeurs
d’ordinateurs personnels comme Dell vendent chaque jour pour plus d’un million
de dollars de produits au moyen du commerce électronique CISCO indique que son
site Web lui économise 500 millions de dollars par an de coûts d’assurances. Au
total, forester estime que les ordinateurs et périphériques représentaient
environ 323 millions de dollars de commerce électrique en 1999 et prévoit que
ce chiffre atteindra 21 Milliards de dollars d’ici l’an 2004.
Comme le matériel, le
logiciel est l’un des principaux produits vendus aux entreprises sur le réseau,
étant un produit mumérique, les logiciels peuvent être non seulement vendus
mais aussi livrés sur le réseau.
L’autre grande catégorie
de commerce électronique inter-entreprises est celle des services de voyage, en
particulier les réservations sur les compagnies aériennes, un document récent
de la commission européenne sur le
commerce électronique crédite les services de voyage de plus de la moitié de
tout le commerce électronique.
Les estimations de Jupiter communication, les recettes des
services de voyage en ligne (avion, hôtel, location de voiture,
croisières vacance ainsi que la publicité sur les sites en rapport avec le
voyage) se sont élevées à 276 millions de dollars en 2001 et ont représenté environ
1/3 du commerce électronique total. Les prévisions sont de 4.5 milliards de
dollars en l’an 2004.
D’après des estimations plus récentes de
Forester Research, le marché des ventes de tickets en ligne serait de l’ordre
de 10 milliards de dollars d’ici 2002. Comme dans le cas des logiciels, ces
transactions sont de plus en plus numériques : Des billets imprimés, sur
papier. Ce sont pour le moment des activités dominantes dans le commerce
électronique inter entreprise mais tout un éventail de services aux entreprises
tel que des services de traitement de paye des services de fourniture de
données comme les renseignements sur la solvabilité ou les informations
financières et même des services juridiques ou médicaux à apparaître sous la
forme du commerce électronique.
Bien que les entités privées
fournissent rarement des estimations du commerce électronique qui fassent une
distinction entre le commerce interentreprises et le commerce grand public, la
plupart des observateurs s’accordent à penser que c’est dans le commerce
électronique interentreprises que se fera le plus d’argent. Etant donné qu’une
proportion d’environ deux tiers de la production brute totale dans le commerce
traditionnelle est interentreprises, il n’y a pas de raison de penser a priori
que ce sera très différent pour les transactions du commerce électronique,
puisqu’une seule entreprise commerçant dans l’inter entreprise pourrait
réaliser un chiffre d’affaires qui dépasse l’ensemble du commerce de détail aux
Etats Unis. (Voir le tableau A).
Tableau A : Quelques chiffres
du commerce interentreprises aux Etats Unis(en milliards de dollars).
Société
|
1998
|
1999
|
2000
|
2001
|
2002
|
2003
|
Yankee groupe
|
-
|
138
|
-
|
-
|
-
|
541
|
Forrester Research
|
43
|
109
|
251
|
499
|
843
|
1331
|
Cisco
|
8
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Source: ABmarketing.com
2- Le commerce électronique grand public :
Le commerce électronique entre entreprises et
consommateurs et aussi appelé commerce électronique de détail ou grand public
pour revenir a la relation traditionnelle entreprise consommateur désigne une
entreprise ou un particulier qui acheté un produit pour son usage personnel.
Dans ce cas l’entreprise qui tient le rôle de consommateur, n’a qu’une relation
commerciale simple avec l’entreprise qui vend le produit, sans qu’il n’ait
échange de données commerciales.
Via l’Internet, ce commerce va se
présenter comme le commerce traditionnel que nous connaissons tous, c’est à
dire une rencontre entre une offre et une demande à une grande différence c’est
que ce commerce va être en grande partie dématérialisé.
Grâce à Internet, on peut désormais explorer l’offre à
une échelle mondiale avec le grand avantage de possibilité de choix des meilleurs
prix. Ce choix dépend d’une comparaison entre les différentes offres de la
consultation des fiches descriptives des derniers produits apparus, et de la valeur
ajoutée des services complémentaires dont peut bénéficier l’acheteur (service
après vente, livraison a domicile...).
Un autre
grand avantage reste la possibilité d’accéder à l’information ou a un site de
vente en linge a tout moment et de puis n’importe ou. Ce qui offre au
consommateur le confort, la vitesse et la souplesse et lui permet d’éliminer
les intermédiaires, et les déplacements, donc de gagner du temps. Mais ce
commerce rencontre aussi des difficultés. D’abord le coût élevé de la facture
pratiquée par les opérateurs et les fournisseurs d’accès surtout en Europe,
l’hésitation des utilisateurs à acheter des produits sans pouvoir les tester et
enfin les problèmes de sécurité des transactions et de protection de l’espace
privé.
Le chiffre
d’affaires du commerce électronique grand public en Amérique du nord ne représente
que 1% du commerce de détail, mais il croit de 200% chaque année. En Europe le
décollage est bien plus lent.
Tableau B: Le commerce électronique
entreprise client dans les douze principaux Etats membre de l’union Européen(en millions de
dollars).
Années
|
1999
|
2000
|
2001
|
2002
|
2003
|
2004
|
Entreprise/client
Recette du commerce électronique
|
150
|
420
|
1230
|
3010
|
6250
|
10720
|
Taux de croissance
|
-
|
+24%
|
+200%
|
+150%
|
+110%
|
80%
|
Source:
IDC Européen
Survey.1999.
Seule en
1998 quelque 520 millions de dollars en chiffre d’affaires, alors que le
total des recettes, du commerce électronique en détail, des douces principaux Etats de l’union européenne n’a été
que de 1226.6 millions de dollars, soit a peine le double, en cette même
période d ‘autre entreprises américaines ont dépassé largement ce chiffre,
le cas notamment de Jupiter communication de Forester Research ou du Boston
consulting groupe. Selon ce dernier les produits les plus vendus en Amérique du
nord serait d’abord les ordinateurs et les autres produits informatiques avec
4.7 milliard de dollars, suivis de prés par les services financiers, le
tourisme, les voyages et les ventes de billets d’avion avec un chiffre
d’affaires de 1.5 milliards. Suivi des livres.
Il fait-tout
de même précisé qu’aucun ne produit ou service échappe à ce commerce,
automobile, livres, compacts, fleurs, épicerie, biens de consommation courante.
Les entreprises virtuelles bénéficient aujourd’hui du grand avantage de l’élimination
des problèmes de distance, de stocks, ou d’heures d’ouvertures.
Le
commerce électronique n’a donc rien d’un simple commerce traditionnel. Il vient
remettre en cause tous les modèles économiques, et changer l’organisation et la
stratégie des entreprises, d’un marché ou la consommation et la production se
faisaient de masse, et les produits étaient ciblés vers des clients types on
est passé a un marché très individualisé ou le client tire a lui des produits
selon ses propres critères. Après avoir fait une large observation sur la définition
du commerce électronique ainsi que les différents acteurs de ce commerce. Il
convient de passer aux avantages de ce commerce sur les économies.
Section 2: Le commerce électronique la priorité des
priorités.
Plusieurs
études ont estimé que le chiffre d’affaires réalisé par le commerce sur Internet,
va être multiplie par plus de 13 en moins de 4ans. Ainsi ses revenus qui ont
été de l’ordre de 32 milliards de dollars dans le monde entière en 1998,
devraient afficher une croissance spectaculaire et atteindre quelques 426
milliards de dollars en l’année 2002. Aussi devrait représentait en Europe un
marché de 64 milliards de dollars en 2001, contre 206 aux états unis. Ces disparités
sont également forte au sein même du marché européen, si l’Allemagne affiche de
bons résultats, tant en terme de nombre d’internautes, que de nombre d’adeptes
du l’héritage du Minitel explique, en sortie, la faiblesse du nombre
d’internautes français et du développement du commerce électronique. L’Italie
et même la France
restent un peu en retard. L’héritage du Minitel explique, en partie, la
faiblesse du nombre d’internautes français et du développement du commerce
électronique.
Cela ne
nie pas tout de même, que la
France affiche des résultats prometteur elle est passée de 40 millions de Francs français
en 1997 a
un chiffre d’affaires de 160 millions en 1998, soit le quadruple en un an.
Ainsi la France
dispose aujourd’hui, de plus d’un millier de sites de vente en ligne.
La
multiplication des applications de commerce électronique va aussi permettre au
contient asiatique d’affirmer sa présence sur la toile mondiale. Il ne faut,
tout de même, pas oublier les enjeux et les difficultés qui peuvent naître à
partir de la relation entre entreprise et administration. « En fait les
pouvoirs publics peuvent; eux aussi, réaliser d’importantes économies en
utilisant l’Internet pour passer des marchés, il peuvent aussi, jouer le rôle
de catalyseurs et favoriser ainsi la constitution d’une masse critique de
consommateurs et d’entreprises locaux achetant et vendant par voie,
électronique, ce qui attirera un surcroît d’investisseurs privés dans les
moyens de commerce électronique...les gouvernements peuvent aussi mettre de
commerce électronique ».
Avec le
commerce électronique, l’achat de biens à l’étranger se fait de plus en plus
facile, et la collecte des taxes notamment la TVA , devient de plus en plus difficile. Les états
américains se sont prononcés pour la suppression des taxes au nom de la liberté
du commerce du fait qu’Internet est considéré comme « un média global qui
crée des emplois hautement rémunérés et qui représente aujourd’hui le tiers de
la croissance économique des Etats Unis ».
Même si
le potentiel de croissance du commerce électronique reste ample « il
s ‘avère jusqu’ à présent rarement rentable, et les nombreuses
petites entreprises qui recourent exclusivement ou essentiellement a ce canal
de distribution n’ont pas une base de capital suffisante pour survivre a une
très longue période de pertes de revenus, il est donc fort possible que beaucoup
d’entre elles disparaîtront aussi vite quelles sont apparues ou seront
absorbées par de grande entreprises ».
Les
principaux bénéficiaires de développement d’Internet ont été: les entreprises
de matériels et de logiciels les providers qui donnent l’accès au net les
consultants qui conseillent les entreprises dans l’élaboration d’une stratégie
Internet, et les propriétaires des sites fréquemment visités.
Section3:
Technologies et infrastructures essentielles.
Comme le commerce traditionnel,
le commerce électronique nécessite une infrastructure importante composée d’intermédiaires
qui permettent aux vendeurs d’opérer des transactions avec les acheteurs. Comme
dans la rue vers l’or au 19eme siècle aux états unis, beaucoup
d’observateurs pensent que les vrais gagnants du commerce électronique ne sont
pas les chercheurs d’or mais les approvisionnaient en nourriture, en vêtements
et pioches.
C’est
ainsi, qu’on assistera à une progression exponentielle des technologies de
l’information et des communications (TIC), chose qui aura un impact fort sur
l’économie et même sur la croissance. C’est donc avec ces outils, que plusieurs
pays peuvent désormais, se permettre de toucher à coût faible le marché
mondial. Ces derniers ont d’ailleurs fait preuve de la conscience du rôle
fondamentale que jouent ces technologies dans le développement de leurs économies.
Alain Jupé, ex-premier ministre français avait justement manifesté sa grande
volonté de faire de la France
en l’année 2001 l’un des exemples mondiaux de l’utilisation des NTIC. Une
volonté également exprimée à un niveau mondial, d’abord aux Etats-Unis et au
Japon, les pionniers de ce secteur, puis en Europe, sous l’égide de sa
commission, et à travers le financement de la recherche et développement.
On peut décomposer l’infrastructure du
commerce électronique en quartes parties:
1) Les fournisseurs de service de
réseau (par exemple, l’accès à l’Internet),
2) Le matériel (par exemple,
ordinateurs personnels, routeurs serveurs, etc. ;).
3) L logiciel permettant de faire fonctionner
ce matériel et les progiciels de commerce électronique).
4) Les services habilitent par
exemple, paiement électronique service d’authentification/certification
publicité.
Parmi ces quatre catégories, le
matériel a le chiffre d’affaires le plus important de l’ordre de 10 à30
milliards de dollars, actuellement et aussi à l’avenir avec des estimations
comprises entre 43 et 72 milliards de
dollars au total.
L’Europe a fait preuve de grande volonté,
dans son contexte communautaire, au parcours des programmes-cadres de recherche
et développement des technologies de la commission européenne, à travers les
parts allouées à la technologie de l’information et des télécommunications.
En voie que le plus grand part du
budget a été affectée pour cette action clé (38%), dans ce cadre la commission
a ciblé les infrastructures essentielles suivantes:
·
Traitement et gestion de l’information, des communications et des réseaux,
il s’agit là des systèmes concourant pour le partage et l’utilisation interactive
de ressources ainsi que le traitement de grands volumes de données en temps
réels, etc.
·
Les technologies et l’ingénierie des logiciels des systèmes et des services.
·
La simulation et la visualisation en temps réel et à grande échelle.
·
Les communication et systèmes mobiles et personnels, y compris les systèmes
et services par satellite, visant ainsi un réseau intégré et sans rupture, permettant
l’accès, en tout point, aux communications et services multimédia sans fil.
·
Périphérie, sous-systèmes et micro système applicable à des domaines
spécifiques, notamment: la médecine, biochimie, l’automobile, l’aérospatiale,
l’interconnexion optique, etc.
Le budget qui a concerné cette
action été de quelques 1363 millions d’euros.
Aussi le Canada à fait des investissements sectoriels importants dans l’infrastructure
des télécommunications, cela rentre dans la stratégie canadienne sur le
commerce électronique pour renforcer l’infrastructure de l’information qui est
considérée comme un atout pour la croissance du commerce électronique.
Tout
cet effort qui a été consenti au service des nouvelles technologies de
l’information et des communications, et tous les soucis pour mettre en place une
étoile bien faite, et une technologie où en convergent plusieurs, vont
constituer une plate forme pour les nouvelles données de l’économie.
Chapitre
II: L’Internet; la toile d’araignée.
Introduction:
Les trois dernières décennies ont été marquées par une
importante révolution dans les moyens de technologie, on assiste plus
particulièrement à l’avènement de l’Internet.
L’Internet constitue une nouvelle
révolution technologique de l’ère contemporaine.
En effet, l’Internet ou«le réseau des
réseaux» s’étend à inclure tous les domaines de la vie et contribue d’une part à améliorer le niveau du développement de la
recherche scientifique et économique, d’autre part d’aider les internautes à
surmonter les difficultés enregistrées dans les moyens de la recherche de
l’information en abandonnant les méthodes traditionnelles.
C’est
aujourd’hui grâce à l’Internet que l’information circule rapidement et
instantanément pour qu’elle se diffuse entre tous les internautes de la planète
toute entière en abolissant les frontières géographiques.
En
effet, l’Internet à marquer sa présence dans tous les domaines de la vie, dans
ce chapitre nous mettons l’accent sur le fonctionnement d’un phénomène économique
«commerce électronique» sur le réseau ouvert.
La
première section du chapitre porte l’attention du lecteur sur la montée d’une
nouvelle révolution technologique réalisée au cours des dernières décennies
qu’est l’Internet, en traitant plus précisément sa présentation ainsi que sa
définition, ensuite la deuxième section examine l’apparition d’une nouvelle
forme ère du commerce qui a connu grand succès sur le réseau ouvert.
Section 1:
Internet: la troisième révolution industrielle
Paragraphe
1 – Internet: une nouvelle révolution Technologique.
L’article 1er de la loi du 6 janvier 1978 relative à
l’informatique, aux fichiers et aux libertés, pose comme principe
que«l’informatique doit être au service
de chaque citoyen. Son développement doit s’opérer dans le cadre de la coopération
Internationale».plus même qu’un principe, il y là une véritable philosophie,
qui sous-tend le droit de l’informatique.
Mais,
sous un aspect plus pratique, ce texte de loi présente l’intérêt d’apporter une
bonne vision du réseau Internet. Un «cadre de coopération international» et un
support «informatique au service de chaque citoyen».
En effet, l’émergence de l’Internet a une
portée véritablement révolutive.
L’Internet ne nécessite que peu
d’investissement spécifique, et d’un coût d’utilisation modeste et accessible
au grand public.sa relative indépendance par rapport à la nature des
infrastructures, aux frontières et aux opérateurs lui a permis un développement
extrêmement rapide au cours des trois dernières années illustrées dans le
tableau 1.
Tableau 1: croissance du nombre
des serveurs Internet et des lignes téléphoniques
depuis 1990 (en millions).
En France
Années
|
Nombre de serveurs
|
Nombre de lignes
téléphoniques
|
1991
|
0.03
|
480
|
1992
|
0.08
|
470
|
1993
|
0.16
|
498
|
1994
|
0.38
|
530
|
1995
|
0.73
|
560
|
1996
|
1.3
|
580
|
1997
|
2.2
|
610
|
1998
|
4.9
|
650
|
1999
|
9.5
|
700
|
2000
|
16.1
|
745
|
Il
convient donc de se baser sur quelques statistiques qui illustrent les
prévisions des experts dans ce domaine. En effet, selon ces derniers le nombre
d’utilisateurs du réseau ouvert a atteint en 1999 a peu prés 370 Millions
de connecteur. En suite, les experts ont prévu une estimation de plus de 860
Millions d’utilisateur à l’an 2002.
En
effet, après avoir cité ces estimations qui ont été calculé et prévu sur toute
la population mondiale, il convient maintenant de citer les statistiques
concernant les deux continents en termes d’utilisation d’Internet en comparant essentiellement
l’Amérique du Nord et l’Afrique. En effet, l’Amérique du Nord qui dispose de 8%
de toute la population mondiale englobe, néanmoins la moitié de tous les
utilisateurs du réseau dans le monde. Le continent africain reflète l’état
contraire de l’Amérique du Nord. En effet, même si le continent englobe une
part importante de la population de la planète à peu prés 13% mais elle ne dispose
uniquement que de 2% des utilisateurs du réseau ouvert dans le monde.
Après
avoir cité ces statistiques, il convient donc de les reflétés par
l’intermédiaire d’un tableau qui indique la répartition et utilisateurs
d’Internet dans le monde.
Espace Géographique
|
Nombre d’utilisateurs en millions
|
Etat-Unis/Canada
|
160
|
100
|
|
Asie
|
90.5
|
Afrique
|
5.2
|
Moyen orient
|
4.8
|
Total
|
360.5
|
Source NUA
Classement
|
Pays
|
Nombre
d’utilisateurs d’Internet
|
Nombre d’habitants
en millions
|
Pourcentage
|
1
|
Etats-Uis
|
120.8
|
280
|
44.6
|
2
|
Japon
|
20
|
130
|
25.4
|
3
|
Grande
|
17.5
|
59
|
15.2
|
4
|
16.5
|
35
|
15.0
|
|
5
|
Allemagne
|
15.2
|
82
|
45.8
|
6
|
Australie
|
10
|
19
|
36.5
|
7
|
Brésil
|
8.4
|
172
|
5.0
|
8
|
Chine
|
7.8
|
1280
|
0.8
|
9
|
7.2
|
60
|
9.8
|
|
10
|
Corée du sud
|
6.4
|
50
|
12.1
|
11
|
5.8
|
25
|
21.5
|
|
12
|
Italie
|
5.4
|
60
|
8.4
|
13
|
Suède
|
4.8
|
10
|
43.3
|
14
|
Pays-bas
|
3.9
|
18
|
19.2
|
15
|
Espagne
|
3.9
|
42
|
8.4
|
Source: Computer Industry almanac
L‘Internet constitue
indéniablement une approche nouvelle, complémentaire et que substituera à moyen
long terme au Minitel:
Il permet aux entreprises et
surtout au PME, peu présentés sur le Minitel un accès à un marché professionnel
et mondial à un coût relativement faible.
Il permet des usages nouveaux
courrier électronique, forum (New Groups), recherche ouverte d’information
générale et de loisir.
Il
convient ici de la transaction décisive et claire que France Télécom,
instigatrice gestionnaire du Minitel semble avoir faite vers l’Internet, en
permettant tout d’abord d’offrir l’accès au coût d’une communication locale,
puis en offrant elle-même son propre service d’accès à un tarif de plus en plus
attractif, puis en proposant, avec le kiosque, un moyen de paiement directement
issu de l’expérience du Minitel et enfin en proposant une plate forme complète
de commerce électronique.
Il
vient pour conforter la montée en puissance de l’Internet en tirant le meilleur
parti des acquis de la télématique.
De
mieux valoriser les réalisations de qualité déjà existantes, notamment en
faisant savoir qu’une grande partie des services du Minitel est accessible sur
l’Internet .il faudrait inciter les entreprises à faire d’avantage de publicité
autour de leurs services Web.
D’élargir les possibilités d’accès à l’Internet à un coût raisonnable pour
les utilisateurs finaux grand public séduits par l’ergonomie et la simplicité
du Minitel notamment en soutenant le développement industriel et
l’expérimentation d’usage de différents terminaux (Web Tv, Web Phone....) de
promouvoir l’usage du courrier électronique qui présente un attrait
complémentaire immédiat par rapport au Minitel par exemple ne inscrivant les
adresses «mèl» dans l’annuaire universel d’aider les fournisseurs d’
information en ligne (information, culture
, éducation) à trouver leur place sur l’Internet en augmentant la valeur
ajoutés de leurs contenus, en les aidant à mettre en œuvre de nouveaux modes de
rémunération, en soutenant l’édition électronique.
De
manière succin, on peut dire que l’Internet est né de la nécessité pour les
universitaires de se pouvoir d’un mode d’échange de document, et de la volonté
de l’armée Américaine de mettre en plate un réseau décentralisé qui résisterait
à une attaque atomique.
Deux volontés à priori contradictoires donc, puisqu’il s’agissait pour
l’armé, d’avoir un réseau sans base de donnée centrale de manière à ce que ces
informations ne soient pas détruites, par une seul attaque et pour les
chercheurs bien au contraire un moyen d’accéder facilement à une banque
mondiale d’information le réseau Internet concile cet antagonisme apparent:
L’information est repartie sur des milliers d’ordinateurs, ces derniers sont
reliés entre eux grâce à un protocole unique qui permet de passer de l’un à
l’autre de manière transparente, ce qui lui permet la facilité d’accès à
l’ensemble des informations stockés.
Paragraphe 2 – Définition de l’Internet, et ses différents
Services
A. Définition de l’Internet
Avant d’entamer la définition de l’Internet;
il est préférable de citer en premier lieu un aperçu historique relative à l’encadrement
de la période de l’avènement de celle-ci.
En
effet, ce système de diffusion de l’information, à l’origine appelé ARPANET fut
crée en 1972 par l’Américain Robert Khan et le pentagone, en période de «Guerre froide», en vue de protéger, en cas de
conflit, toutes sortes de données informatiques
L’information cesse alors d’être concentrée dans une seule machine pour
circuler sans cesse peu petits fragments entre plusieurs ordinateurs, ceci
évitant la perte totale de l’information en cas de destruction d’une partie de
matériel informatique.
En
1990 ARPANET disparaît au profit d’Internet et s’ouvre au grand public grâce
aux universités et aux scientifiques du monde entier.
M.Huitema relates l’apparition du réseau ainsi «en 1973, vint cerf et
Bob Khan créèrent le concept d’Internet, proposant d’Interconnecter des réseaux
isolés en leur imposant un langage commun qui serait compris par des
passerelles et permettrait de relayer des paquets (d’information) de réseau à
réseau.
Il
fallu définir ce langage commun dont les partie les plus visibles sont le
protocole Internet (IP) et le protocole de contrôle de transmission (TCP) le
principe du «protocole Internet» selon le même auteur, consiste à définir les
services du réseau, et à rechercher la vitesse maximum de transmission de données.
Ainsi ces dernières sont elle découpées en paquet et chaque paquet est pourvu d’un
en-tête indiquant, à la manière d’une enveloppe postale, sa provenance et sa destination.
L’ordinateur de l’utilisateur prépare ces paquets et les soumets au réseau.
Celui-ci est censé les acheminer au mieux, en choisissant à tout moment le
chemin le plus court.
Il
est tout à fait possible, que des paquets successifs, empruntent des routes
très différentes. Le service Internet est dit de «Data Gramme», c’est à dire
que les paquets de données sont acheminés comme des lettres à la poste.
Quant
au principe de «protocole de contrôle de transmission» il permet de répéter les messages perdus dans
le réseau et d’assurer une réception sans faute de données.
Après avoir cité la présentation d’Internet ainsi que son cadre
historique, il convient maintenant de définir l’Internet.
En effet, l’Internet est un réseau Informatique de communication et
d’information d’ampleur mondiale. Souvent nommé«le réseau des réseaux» il est
constitué de plusieurs milliers d’ordinateurs reliés entre eux dans plus de
cent cinquante pays et interconnectés en temps réel.
On
peut dire aussi que l’Internet est un réseau permettant de relier entre eux
plusieurs réseaux informatiques de types différents dans lesquels s’échangent
grâce à l’utilisation d’un protocole unique (TCP/IP) du courrier (e-mail) des
fichiers (ftp), des informations et opinions (Newsgroups) ainsi que des banques
d’informations (Gophr, wais, Web) cette définition implique l’association de
deux éléments :
-Un
mode de transmission permettant de relier entre eux grâce à un protocole unique
(TCP/IP) plusieurs réseaux informatiques.
- Des
services qui consistent en messageries, consultation de fichiers et échange
d’information et opinion.
L’Internet
est un réseau ouvert qui s’oppose ainsi à la notion de réseau propriétaire.
Il importe maintenant de spécifier chacune de ces notions, nous prenons
donc dans une première étape l’exemple du réseau propriétaire puis nous
revenons à l’exemple du réseau ouvert dans une deuxième étape.
1-Exemple
de réseau propriétaire
Le réseau (S.W.I.F.T society+ for
World Wibe Interbank Financial transat), géré par une association belge crée en
1973 regroupe la quasi-totalité des banques mondiales.par ce réseau s’opèrent
la plupart des transactions bancaires entre elles.il s’agit d’un réseau propriétaire
fermé, qui fait donc appel à la présence d’un élément central, opposé à la
structure d’Internet dont l’accès est réservé à ses seuls membres.
L’Internet prend le contre –pied de
ces réseaux spécialisés, privé fermés. De nature ouverte et non spécialisé, il
pose évidemment des problèmes de sécurité de transport des informations et de
discrétion.
2-Exemple de réseau ouvert:
Le réseau Internet est un réseau ouvert.
Ce caractère non centraliste et sans doute à la base des principaux problèmes
que posera ce réseau. Lorsqu’un réseau est propriétaire, on peut envisager de
faire adhérer ceux qui désirent s’y connecter à un contrat cadre fixant
préalablement les principales obligations juridique aux quelles seront soumis
les utilisateurs (preuve, paiement, formation du contrat, mode d’acceptation
...) une telle possibilité semble impossible sur un réseau ouvert.
On peut dire aussi que l’Internet
est un réseau public, gratuit et coopératif. L’aspect coopératif signifie que la
bande passante sur laquelle transitent des informations, bien qu’appartenant à
des propriétaires distincts, est laissé à l’usage de tous, ce qui correspond à
une sorte d’accord tacite de type «je laisse les informations des autres car
ils laissent passer les miennes».
B-les différents services d’Internet.
1-E-mail
Messagerie électronique, les messages sont
échangés par ordinateur et par réseau interposés. Très voisin du principe de
courrier électronique fonctionne avec des «boite à lettres» (ensemble des
messages reçu) mais offre également d’autres possibilités (envoi simultané d’un
même message à plusieurs correspondants) et est plus efficace (grâce à l’instantané
des envois simultané d’un même message à plusieurs correspondants).
Le message est composé d’une
«header» indiquant son contenu et l’adresse de l’expéditeur et du «body», ou
corps de texte.
2-List-server
Les Internautes
qui ont un E-mail, peuvent souscrire à un liste-server, c’est à dire une série
de bulletins concernant un sujet qui les intéressent et qu’ils recevront
régulièrement de leur boite à lettre cette «souscription» est gratuite.
Pour
souscrire, il suffit d’envoyer votre requête par E-mail au service spécifié,
(que vous découvrirez en communiquant avec d’autres personnes ou en lisant des
articles sur Internet ou ailleurs .....) en inscrivant dans votre E-mail :«sus
crible mailing liste nom (de cette liste) votre prénom votre nom».
3- New groupe (ou forums)
Terme générique désignant l’ensemble des groupes de discussion sur
Internet (ensemble que l’on nomme aussi «Usenet»).
Chaque groupe est centré sur un sujet précis et accueille un ensemble de
personnes désirent apporter à cette communauté (virtuelle) une opinion ou
simplement s’informer.
4-I.R.C.
(Internet Relay Chat).
Il s’agit de new groupes où la
communication s’effectue en temps réel. Excepté cette différence (fondamentale)
le «Chat» se présente comme un USENET ou forme NEW GROUP.
5-F.T.P. (File Transfert Protocole)
Logiciel et protocole permettant de faire transiter
des fichiers quels qu’ils soient (images, textes, logiciels ou programmes),
d’un ordinateur situé à l’autre bout de la planète jusqu’au votre, Via le
réseau.
Par
extension, ce terme désigne depuis la naissance du «World Wilde Web»une des
possibilités offertes par Internet: L’accès à des bases de données de fichiers
à partir desquelles tout utilisateur peut anonymement rapatrier sur son
ordinateur des fichiers divers.
6-Gopher.
Historiquement, l’un des premiers
types de logiciel/protocole/serveur permettant d’accéder à des ressources sur
Internet de façon plus «convenable» qu’avec le protocole F.T.P.
Il
s’agit en quelque sorte d’une évolution du F.T.P préfigurant le«World Wilde
Web», il en offre à peu prés les mêmes possibilités (les serveurs Gopher sont
interconnectés).mais ce type de serveurs est plus pauvre en multimédia et moins
«vivante» que le «Web».
7-Telnet
Fonction d’Internet permettant à
l’utilisateur de se connecter à distances sur un ordinateur et de l’utiliser
comme si c’était le sien.
Ce procédé est très apprécié par les professionnels car il est autorisé
des développements d’applications nécessitant à la base un matériel beaucoup
plus puissant.
8-World Wide Web (WWW or W3)
Terme générique permettant de
désigner la façon la plus conviviale de «navigue» sur Internet .Ce type de
serveur permet un accès simplifié aux informations disponibles sur Internet.
Imaginé en suisse en 1989.Ce procède offre un éventail plus large de
connexions aux sites présents sur Internet on peut naviguer uniquement par
l’intermédiaire de la source et des liens hypertextes ou liens «cliquables»,
ces derniers permettent une utilisation très fonctionnel du «réseau des
réseaux».
En plus des informations contenues dans un serveur W W W, les connexions
à d’autres serveurs se font très simplement.
Ainsi tous les serveurs du Web forment une
sortie de maillage «en toile d’araignée» qui remet le déplacement sur
l’ensemble des ressources d’informations présente sur internet.
Section 2:L’Internet une plate –forme pour le
e-commerce
Paragraphe 1 – Internet une nouvelle ère du
commerce
On constate également que
l’avènement d’Internet a ouvert une nouvelle avenue au commerce électronique,
les achats en ligne. Nous pouvons, aujourd’hui, acheter des biens et des services
–allant des livres, des disques et des produits de divertissement aux
forfaits-vacances et au matériel informatique dans le confort de notre foyer,
en ouvrant tout simplement notre ordinateur et en nous branchent dans
l’Internet.
Toutefois
pour permettre au commerce en direct de rallier le grand public il faut d’abord
répondre à certaines grandes préoccupations des consommateurs, comme la
protection des renseignements personnels et la sécurité.
Si
l’Internet veut s’imposer comme une autre plate forme pour effectuer des
transactions financières, les gens doivent se sentir aussi à l’aise de faire
affaire dans le cyber que dans l’environnement traditionnel.
En effet, grâce à l’Internet le monde du commerce se présente
aujourd’hui sous un nouveau jour. L’essor d’Internet ces dernières années à
insufflé un nouveau souffle aux modes de communication et d’interaction entre
les gens et les entreprises.
Toutefois
nous avons déjà signalé que l’Internet a fait son apparition entre les années 60
et 70 pour des fins de recherche universitaire et militaire, mais elle se
limitait alors à des textes n’offrait aucune des fonctions de multimédia
disponibles aujourd’hui.
Des
problèmes de lenteur et de mauvaise organisation de l’information entravaient
également son fonctionnement.
On
peut dire alors que la situation a toute fois commerce à évoluer lorsque le Web
a vu le jour au débit des années 90 convivial et axé sur la présentation graphique,
le Web entraînait dans son sillon des navigateurs et des outils de recherche
permettant aux internautes de passer rapidement d’un site à l’autre et de
rechercher de l’information au moyen de mots ou de phrase clés.
Toutefois en constate que l’expansion du commerce électronique se trouve
dans le fait que certaines entreprises ont franchi une étape de plus et
utilisent Internet pour vendre leurs marchandises directement.
Les consommateurs et les entreprises peuvent donc maintenant effectuer
les transactions en direct.
En
effet, à l’image d’un centre commerciale mondial ouvert jour et nuit, Internet
propose des milliers de biens et de services allant de voitures neuves et de
billets d’avion à des livres au tirage épuise. Grâce aussi à Internet toute
personne peut acheter des produits dans le cyberespace. C’est ainsi qu’on
utilisant notre navigateur Internet pour accéder au site web de notre choix,
nous pouvons regarder des images des produits offerts par l’entreprise et
prendre connaissance de ses caractéristiques.
Ainsi, au lieu de consulter un catalogue imprimé, nous regardons un
écran d’ordinateur, nous pouvons fureter à notre rythme et commander les
produits au moment voulu.
Paragraphe 2 –La création d’un site web marchand
Tout d’abord, il est indispensable que l’entreprise
s’assure qu’il respecte sa charte graphique lors de la création d’un site de
commerce électronique.
Dans le cyberespace plus qu’ailleras, la société et sa marque ont besoin
d’une identité visuelle claire pour rassurer les clients.
La plupart du temps, l’identité visuelle de l’entreprise est complément
ignoraient, ce qui est réellement regrettable.
Une autre erreur fréquemment commise par
les concepteurs de sites marchands est de créer et de multiplier les écrans
intermédiaires lors de l’achat d’un produit. Or, il a clairement été établi que
plus le nombre de clics n’est important pour arriver à l’achat du produit, plus
les probabilités de vente ne se réduisent. Par conséquent, il fait que
l’entreprise veille à ce qu’un visiteur localise très rapidement le produit
qu’il cherche lorsque ce dernier fait accès à la site et que la commande soit
la plus simple possible.
L’entreprise doit également faire jouer son bon sens lorsqu’il place ses
produits sur son serveur: un produit a davantage de chance d’être vu et dès
lors d’être acheté s‘il est caché dans un âge du serveur à laquelle on ne peut
accéder qu’après 5 ou 6 clics. Aujourd’hui à ceci que le nombre de rubrique doit
être limité et il faut que la navigation dans le serveur soit simple. Prenons
tout d’abord, amazone, comme, la célèbre librairie en ligne comme exemple de se
point d vue : deux ou trois ouvrage en promotion sont mis en d’avant dès
la page d’accueil, la recherche d’un ouvrage spécifique et possible grâce à un
moteur de recherche Interne, très visible, les différents rubrique sont
accessibles dès le haut de la page et
l’on découvre rapidement qu’Amazone.Com vend désormais également des disques,
grâce à l’Anglais «Music».Enfin d’autre page du site sont accessible dès la
page d’accueil mais elles bénéficient d’une moindre grande visibilité,
probablement car jugée de moindre importance.
Après ces considérations d’ordres
générales, passant maintenant à l’architecture matérielle du site
marchand :
Il se compose tout d’abord d’un serveur
Web qui formatera les informations au standard HTML reconnu par les browsers,
il faut ensuite mettre en place un dispositif permettant de gérer un catalogue
de produit, plusieurs possibilités, existent : certains services en ligne
comme Yahoo ! Ou laçât propose l’ouverte à distance d’une boutique en ligne
où l’on peut vendre un nombre illimité de références.
L’entreprise peut également
développer un modèle spécifique à base de CGI et ou d’API sur son propre site Web
qui lui permettra de personnaliser l’interface de son boutique. Mais la
solution la plus couramment utilisée est l’installation d’un serveur Web
marchand.
Un Web marchand accélérera le développement du site, mais facilitera
aussi l’administration et la gestion de galerie marchande et fluidifiera les
échanges entre le front office (la vitrine visible par l’internaute) et le
back-office (les opérations de gestion qui ont lieu au sein de l’entreprise).
Le serveur Web marchand se
compose d’une machine de type silicone graphie suffisamment robuste pour gérer nombre
important d’interrogation simultanée et d’un logiciel qui permet de créer la
galerie marchande.
Paragraphe 3 – Les acteurs
économiques et la rentabilité
du commerce sur Internet.
L’avénement de l’Internet à modifier
profondèment le comportement des acteurs économiques, c’est grâce à l’Internet
que ces derniers ont modernisé ce comportement.
Il convient de souligner que
l’Internet est avantageux non plus pour les entreprises qui disposent d’un site
marchande mais aussi pour les consommateurs, ainsi que pour le secteur
financier.
Dans ce paragraphe l’accent
sera mis sur les avantages que procure l’Internet aux secteurs économiques.
En effet, dans un premier lieu, nous
aborderons la rentabilité du commerce sur l’Internet pour les entreprises puis
pour le consommateur, enfin nous terminerons le paragraphe pour celle des
établissements financiers.
1-Les avantages retirée par les entreprises :
Les entreprises
sont incontestablement les plus bénéficiaire des services présentés par
l’Internet du fait de la multiplicité du gain retire.
Ainsi les chefs d’entreprise
qui ouvrent un commerce dans l’Internet peuvent espérer :
-Bénéficier de nouvelles
occasions d’affaires en élargissant leur s bases de clients pour y inclus la
planète tout entière par exemple, Roswelle Computer Bocks de la nouvelle –Ecosse
à établie une librairie électronique qui permet aux internautes de surfer et de
commander des livres.
-Offrir à leurs clients
existent une avenue supplémentaire de service à la clientèle.Ainsi T et T seeds
du Manitoba à établie un site Web pour mettre à la disposition des jardaniers
amateur des semences de variété hâtives et espére effectué une percée sur le
marché américain.
-Réduire potentiellement leurs
frais d’exploitation (Marketing, inventaire, distribution et production ) et
ainsi peut être accroître leurs revenus.
-Trouver une nouvelle source grâce aux annonceurs payant
pour faire la publicité sur le site.
A tout ces avantages on peut
ajouter d’autre :
En effet, l’Iternet permet,
pour un coût et un apprentissage relativement modeste, l’ouverture sur le
marché mondiale, la recherche de partenaire de n’importe quel pays, l’accès à
d’innombrables sources d’informations sur les marchés lointaines.
Pour de nombreux produits et services, il
permet au moins du départ, de faire l’économie d’investissements commerciaux locaux
et des risques qui leur sont liés tout en offrant, grâce à l’interactivité, une
capacit0é d’évoluer rapidement la compétitivité de son offre.
Pour des entreprises
innovantes il permet de diffser très rapidement leur innovation pour, soit les
commercialiser directement, soit trouver des partenaires et devenir aussi,
d’entrée de jeu, une référence mondiale c’est ainsi qu’une entreprise française
a pu devenir un leader sur le marché américain des fauteuils pour handicapés.
2-Les avantages
pour les consommateurs.
Pour les
consommateurs, le commerce dans l’Internet n’en présente pas moins d’avantages,
il convient donc d’en citer quelques-unes :
-La possibilité de furerter de
comparer les produits et d’effectuer nos achats à notre convenance.
-La commidité-Le magasin est
toujours ouverte dans l’Internet.
-Un marché élargie-notre centre commercial
se mondialise (nous pouvons acheter auprès d’une entreprise à Rabat, Paris,
TOKYO, ou San Francisco tout en demeurant dans le confort de notre foyer).
-La possibilité de prendre des
décisions éclaircées grâce à l’accès à pein de renseignement et à des liens
permanents à d’autres sites.
-Une baisse potentielle des prix
grâce à la compression des frais généraux et à la concurrence accrue.
-Une plus grande facilité d’accès
aux fournisseurs.
3-Les gains
requis par les établissements bancaires.
L’arrivée de l’Internet a engendré
des changements structurels profonds dans le secteur de la finance professionnelle,
mais loi d’etre une menace fatale et inéluctable,il pour les etablissements
financiers d’étre les premiers a saisir les opportunités naissantes.
En effet,aprés avoir inondé l’offre de
services financiers dédiés au grand public,notamment la banque directe et le
courtage en ligne, la déferlante Internet semble désormais irriguer le domaine
prometteur des opérations de marché réalisées entre opérateurs professionnels,notamment
pour les produits de taux, change et matieres premiéres.
Depuis plusieurs mois la plupart
des banques d’investissement, a l’instar de la S.G offre des services en ligne de plus en plus
diversifiés aux professionnels, incluant notamment un accés souvent gratuit a
la recherche économique et financiére aux cotations en temps réel d’une gamme grandissante
d’instruments ou encore aux outils de simulation les plus pointus.
L’internet apporte surtout de
formidables opportunités por le monde de la finance.
En effet, via le net les établissements
bancaires ont par exemple la possibilité d’enrichir et de diffuser facilement leurs
prestations en matiére de suivi de positions ou d’analyse de risques.
Section 3 : le commerce sur
le net : émergence d’une nouvelle stratégie.
L Se lancer dans le C.E oblige toujours
l’entreprise a se restructurer peu ou prou. Car il faut intégrer ce nauveau
canal de vente parmi les circuits déja en place ce qui suppose souvent
d’adapter la logistique pour satisfaire contraintes de la commande en
ligne-transparence sur les prix, les stocks, respect des délais de livraison,
il faut aussi intégrer l’application du C.E au systéme d’information de
l’entreprise pour éviter les doubles saisies. La profondeur de la
réorganisation dépend de la maturité technologique de l’entreprise : un
organisme de ventes correspondance ou une agence de voyages disposant déja d’un
services Minitel, comme la
Redoute ou Degriftour, partant avec un longeur d’avance .
dans le commerce grand public, le principal défi consiste a attirer le client
en personnalisant la relation ce qui conduit a des nouvelles techniques de
marketing ayant recours a la technologie push et les agents intelligents, dans
l’e-commerce interentreprises, la societé cherche plutot a contourner ses
intermédiaire popur reduire ses couts.
L’engagement dans le commerce électronique
nécessite la satisfaction de certaines conditions, nous limiterons aux trois
conditions principales suivantes :
ü L’adaptation
d’une stratégie a long terme.
ü Fidéliser
le client.
ü Opter
pour la publicité en ligne.
1-Une
stratégie a long terme :
L’entreprise doit mener une
réflexion stratégique ‘’car elle doit identifier une niche porteuse et cassé la
chaine de la valeur classique en apportant un service complémentaire sue le
Web ‘’ explique Jacque Descombres directeur de la SSII suisse Infordesign.
Avant tout il faut identifier le marché cible et mesurer les freins des investissements.
Donc l’entreprise doit s’engager a long
terme, certes pour les secteurs a vente supplementaire. Mais souvent l’introduction
du C.E nécessite une vraie organisation cela implique d’inclure la vente
virtuelle dans la stratégie marketing et commerciale d’y associer ses
partenaires, d’adapter son outil de production et sa logistique pour répondre à
la demande, ou encore d’intégrer les ventes en ligne au systéme d’iformation.
Le marketing nécessaire pour attirer le
consomateur peut devenir un gouffre, ainsi il représentait 67% des frais
d’exploitation d’Amazon. Com en 1997 la rentabilité ne serait etre immédiate : « il
faut accepter de ne pas etre rentable tout de suite et s’accorder le droit à
l’erreur » souligne Jean Philippe passot responsable du C.E chez EDS pour la France et l’Europe.
2-Fidéliser
le client, le défi du commerce grand public :
Convaincre le grand public d’acheter sur
l’internet est un nauveau métier la plupart des entreprises s’apprennent sur le
terrain ; il existe cinq conseils pour démarer :
a-Définir
une stratégie : « Le plus long dans un projet de vente grand
public c’est la phase amont de réflexion qui consiste à définir la stratégie marketing de l’entreprise »
explique Matiheu Fiorenti chef de projets chez coplanet, société spécialisé
dans le conseil et le marketing de projets Internet. Quels produits vendre ?
Auquel client ? face à quels concurents ? et quels services
complementaires offrir sur l’Internet ? il faut aussi mesurer l’impact du
site sur les circuits commerciaux classiques, choisir une identité visuelle et
décider si l’héberegement sera sous-traité.
b-Soigner
l’ergonomie : Le site doit fournir des informations pratiques sur
l’activité des vendeurs et des coordonnés pour rassurer le client. il lui offre aussi les fonctions pratiques
comme la possibilité de modifier facilement une commande, voire de l’annuler,
et un accés rapide aux choix de produits
en ligne . faute d’une ergonomie adaptée, « le feuilletage » d’un
catalogue sur le Web peut, en effet s’avérer laborieux.
c-Organiser
la logistique : un site de C.E. nécessite une organisation logistique
rigoureuse allant du traitement des commandes au paiment en ligne, en passant
par le stockage et le transport des produits, les sites marchands ont interet à
offrir la plus grande variété.
Possible de moyens de paiement :
carte bleue, porte monaie électronique, carte privative, mais les systémes de
paiement par carte bancaire ne sont pas trés fiables car le client peut
toujours refuser de payer aprés avoir été livré. Les systémes sécurisés
devraient s’améliorer avec l’introductionde la solution e-commerce utilisation
des lecteurs de cartes à puce.
d-Se
fait connaitre : à coté des méthodes publicitaires traditionnelles les
sites marchands disposent de nauveaux outils. D’abord , le référencement
voie consiste à échanger des liens ou à s ‘affilier à d’autres sites ayant
une cible identique mais par de produits concurents. Enfin les bandeaux
publicitaires sur le Web et l’amination de forums discussion attirent efficacement
le chaland.
e-Adopter
l’offre : Pour augmenter leurs ventes en ligne les entreprises doivent
chercher à fidéliser leur clientéle. Réaliser une analyse permanente de la
fréquentation de leur site permet d’adapter le catalogue au gout des consomateurs.
De nouvelles techniques de marketing de type « webcasiting » se
développent, fondées sur les technologies push et les agents intelligents.
Enfin le développement de nouvelles formes de marketing personnalisé débouchant
sur un meilleur dialogue entre le vendeur et l’acheteur.
3- Opter
pour la publicité en ligne
Les trigles à suivre pour obtenir de
bons résultats sur le Web sont un peu celles de la publicité traditioonelle,
avec quelques transpostions.Il faut d’abord bien définir sa stratégie, une
compagne Internet peut servir à attirer les visiteurs sur un site pour leur
vendre des produits ou des services (des fins purement commerciales), ou bien
siplement pour faire de l’image on necmmunique pas dela même façon dans les
deux cas.Dans le premier, la cmmunication vis-à-faire connaître une offre
précise, de la même manière que les prospuctus dans les boites aux lettres, les
compagnes d’images répondent, elles, aux besoins des sociétés, diposant d’une
forte notoriété et qui souhaitent toucher un public différent de celui des
autres médias. La deuxième règle, la créativité, il faut l’idée qui va amener
l’internaute à cliquer pour aller plus loin :venir sur votre site ou
répondre à votre proposition un site à vocation commerciale a intérêt à mettre
en avant une promesse exclusive à Internet, conseille J.C.Finidori consultant
indépendant en marketing interactif. Ce peut être un prix plus intéressant que
dans la distribution traditionnelle, un produit non disponible ailleurs, une
livraison gratuite...
Aussi
n’hésitez pas à «usez et abuser de mots accrocheurs comme gagnez », «économisez
», «gratuit » recommande de T.Serret, de l’agence de publicité connecte world.
Sur le web, la créativité doit aussi porter
sur la concision :faites court ! et comme il s’agit d’un média «chaud
», vous aurez intérêt à jour l’événementtiel.
Le troisième règle, pour réussir sa pub sur le
web,c’est de bien définir votre cible. Vous voulez toucher les sportifs, les enfants,
les jeunescadres ? Il existe une quantité de sites spécialisés où les
internautes se retrouvent selon leur centre d’Internet. Mais la grande majorité
d’entre eux se rend d’abord sur un annuaire ou un moteur de recherche et est
possible d’y acheter des espaces publicitaires comme dans des pages des
journaux célèbres. Mieux un moteur de recherche peut afficher une publicité en
fonction de la requête de l’internaute.
Si le commerce électronique est rentable pour
le client (visualisation en temps réel des produits, possibilité d’acheter en
ligne et faire jouer la cocurrence au niveau mondial, acquérir des pouvoirs d’imposition
des prix.....).
L’entreprise y trouve
également des avantages tels la connaissance en temps réel des variations des
ventes, l’accès aux stratégies des concurrents.
L’identificationde
partenaires financiers et commerciaux et la gestion efficace de la chaîne de
production. L’entreprise doit alors mettre à jour son site Web si non la sera
voué à la mort.
Après avoir essayé de
donner quelque stratégie essensielle pour l’engagement dans le commerce
électronique mondial convient maintenait de traiter quelques problèmes relatifs
aux aspects juridiques du C.E.
Chapitre 3 : Les aspects
juridiques de commerce électronique.
Introduction
Le commerce électronique est appelé
à se développer rapidement néamoins ce développement est accompagné de nombreux
problèmes qui s’inscrivent dans le cadre des difficultés s’opposant aux acteurs
économiques.
En effet, dans ce chapitre
nous essayons sous l’aspect juridique du phénomène étudié de mettre l’accent
sur quelques éléments qui guident le fonctionnement de cette activité et qui
sont considérées jusqu’à présent comme de véritables entraves aux échanges
commerciaux électroniques du fait de l’incertitude qui se manifeste chez les
utilisateurs du réseau ouvert.
En effet, la première
section sera consacrée à l’étude de paiements électronique, en abordant plus
précisément les moyens de paiement des échanges commerciaux ainsi que la
sécurité du paiement sur le réseau
ouvert.Ensuite nous envoyons le lecteur dans la seconde section aux
problèmes liés à la conclusion d’un contrat électronique en ligne.En fin la
dernièreeeee section sera consacré à la signature électronique.
Section 1– Le paiement
électronique.
Introduction :
Le paiement des
échanges commerciaux électronique peut prendre des formes variées, répondant à
une grande diversité de besoins.
En effet, l’exécution sur le
réseau est sans doute la phase la plus sensible. La notion de distance,
d’extra-territorialité, recours reprennent alors un caractère inquiétant. Les
notions de confiance reprennent une place prépondérante. Il convient toutefois
dans un premier lieu de voir les moyens de paiement poposés sur Internet ,
ensuite nous examinerons dans une deuxième point la sécurité du paiement sur le
réseau ouvert.
Paragrahe
1-Les moyens de paiement sur Internet.
De nombreuse solutions existent à l’heure
actuelle en matière de paiement sur Internet. Les banques et autres organismes
financiers ont dû, face à l’insécurité du réseau, inventer des solutions
rassurantes pour les utilisateurs.On peut distinguer trois grandes formes de
paiement à l’heure actuelle :
-La transmission
sécurisée d’un code carte bleue
-L’utilisation de la
monnaie électronique.
- L’utilisation des
services d’un intermédiaire tiers certificateur.
1-Carte bleu et
transmission sécurisé.
Le e-commerce est appelé à se développer
rapidement.La carte est le moyen de paiement le mieux adapté au régalement de
ces transaction s sur Internet, compte tenu de sa diffusion internationale et
de sa normalisation, de son ergonomie et de sa capacité d’évolution technique.Elle
est en effet capable de s’adapter aux différentes configurations de
distribution et d’offrir des solutions pertinentes aux risques d’insécurité
liés aux échanges d’information sur Internet.
On peut utiliser pour
comprendre les enjeux de cette technique, l’image suivantes envoyer un numéro
de crte bleu sur Internet reviendrait à peu près à faire transiter par la poste
une liasse de billet avec timbre desssus....
En effet, les messages,quels
qu’ils soient, s’ils ne sont pas suffisamment protégés, sont succeptibles
d’être lus par des personnes aux intentions plus ou moins douteuses (notamment
par les fameux «Hackers» ou «pirates informatiques» qui sillonnent le réseau).Donc
pour permettre l’envoi d’un code carte bleue, la solution la plus évidente consiste
à crypter le message. Au paiement à distance par carte bleu suppose une relation tripartie entre
l’organisme émetteur, c’est à dire en France, un établissement de crédit, un
commerçant et un client. Ce paiement est dit, en France, irrévocable fait
qu’une fois l’ordre de paiement donné par le client, il ne peut faire
opposition à cet ordre.
-L’exemple de
cybercash : crée par William
Melton , l’un des fondateurs de verifone (système de vérification des
cartes de crédit ) cyber cash amis au point opérationnel depuis 1999,
permettant aux clients , munis d’un logiciel
(gratuit), des se connecter directement aux biens de paiement cyber cash reliés
au réseaubancaire, et de payer ds biens ou services achetés en ligne au moyen
de leurs cartes de crédit, préalablement enregistrées auprès de ces serveurs.
Le système de paiement cybercash utilise la cryptographie DES 56 bits, avec des
clés 1024.Lorsqu’un client effectue un achat sur Internet, la transaction est
adressée au détaillant, le logiciel de celui-ci complète des données relatives
à la transaction et la transmet à cybercash, qui la «re formate» avant de
l’expédier à la banque. Une fois la transaction approuvée par la banque, la
transaction est adressée au serveur de cybercash, cryptographiée, et
retransmise au détaillant qui exécute l’ordre et remet au client un reçu
électronique.
2- Utilisation de
la monnaie électronique.
Le terme de monnaie électronique
(«porte-monnaie électronique » ou «porte monnaie virtuel ») est souvent utilisé
de façon générique pour décrire plusieurs moyens de paiement, principalement
destinés aux transactions de détails, récemment mise en place ou à l’étude.
S’il est difficile d’en donner une définition concise, on peut la décrire comme
une réserve de valeur prépayée stockés sous forme électronique, grâce à
laquelle le détenteur peut régler des opérations à caractère commercial ( biens et services) avec plusieurs bénéfices
potentiels.
Un achat s’effectue par
transfert de valeur entre le support et le dispositif installé chez le
bénéficiaire du paiement.
Dans la plupart des cas,
celui-ci après avoir accumulé cette valeur sur son terminal, la remet à
l’émetteur pour recouvrement.
En effet, selon la définition de
la banque des règlements internationaux, le concept de la monnaie électronique
peut être défini comme correspodant aux systèmes électroniqus de dépôt d’unités
de valeur monétaire en possession du consommateur, qu’il utilise pour effectuer
des réglements, avec crédit du compte préalablement à la transaction.
Ces systèmes peuvent être
matérialises sous deux forme.
a-Le porte monnaie
électronique : permet d’effectuer des paiements à partir d’une réserve de
fonds, préalablement constituée et
matérialisée par une carte, cette réserve étant débitée par le commerçant à
chaque achat, il est utilisé principalement pour le commerce de détail, il peut
n’être accepté que par un seul
prestataire ou au contraire avoir de multiples usages.
b-La monnaie
virtuelle : correspond à des logiciels qui permettent d’effectuer des
paiements sur des réseaux ouverts et notamment sur Internet.Dans ce cas la
réserv de fonds est préalablement constituée et stockée sur ordinateur, mais
elle n’est pas matérialisée. En effet de nombreuses initiatives ont été prises
dans le domaine de la monnaie en ligne de biens et services. La monnaie
électronique virtuelle, visant à permettre le paiement en ligne du bien
service. La monnaie électronique virtuelle consiste en la transmission d’une
série de numéros validée par une banque , portant une valeur monétaire
définie, et dont la circulation est chifrée, et gérée par des logiciels.
3-L’utlisation
des services d’un intermédiaire tiers certificateur.
-Tiers certificateurs et paiement électronique : L’exmple de first
virtuel
Le système mis au point par
first virtual, entreprise basée à Washington, n’utilise ni logiciel particulier
ni cryptographie, et il est davantage conçu pour le commerce d’informations que
pour celui de bien physique : les clients doivent ouvrir un compte auprès
de first virtuel, en communiquant par téléphone un numéro de carte de crédit,
stocké sur un ordinateur non relié à l’
Internet, en l’échange duquel leur est
remis un identifiant. Les transactions sont ensuite conduites par courier
électronique : Le client désireux d’effectuer un achat communique au
détaillant son nom et son identifiant (seul celui-ci transite sur réseau ouvert
) le détaillant transmette ces informations à first virtual qui adresse un
message au client, à la fois pour authentifier le détaillant et lui demander de
confirmer sa transaction. First virtual exécute ensuite le paiement et en
informe le détaillant qui qui exécute à son tour la commande.
Paragrahe 2- La
sécurité du paiement sur Internet.
1-Les freins au commerce sur
Internet.
En schématisant,
en dehors des handicapes structurels, il existe deux sortes de freins, qui
peuvent se cumuler.
-Les produits que le
consommateur n’a pas envie d’acheter .
L’inadéquation de l’offre, la
mauvaise ergonomie du site, un catalogue peu crédible, peuvent en partie
expliquer le peu de succès de certains commerces.
Ajoutons les moyens de
paiement proposés qui dans biens des cas, vont obliger le client à charger un
logiciel spécifique de chaque système du commerçanr ou de sa galerie
marchande.autant de galeries marchandes autant de Wallets !.
-Les produits que le
consommateur n’ose pas acheter.
Tout le monde s’accorde pour
dire que le frein le plus réel réside dans l’abscence ou la faiblesse de la
sécurisation, de la transaction commerciale. Si le client n’a pas confiance
dans le commerçant «virtuel» il n’achètera pas s’il a le confiance dans le
commerçant mais pas dans la sécurité des mécanismes de paiement proposés, il
n’achètera pas non plus.
De la capture de son numéro de
carte de crédits sur un routeur ou sur un site mal protégé, créant des
paiements abusifs, des litiges d’autant plus difficiles à résoudre qu’ils
seront transfrontières, jusqu’au faux commerçant qui livre pas et pour cause ! mais encaisse son
paiement, autant de sujets propres à s’inquiéter le candidat acheteur.
Quand au commerçant, il peut
craindre, lui les faux clients et leurs commandes abusives, les informations
erronés, constituant des commandes falsifiées des informations subtilisées
pendant l’change, tel le fau vrai numéro de carte de crédit qui générera des
paiements abusifs qu’il devra supporter.
2-Les préoccupations des acteurs du
commerce électronique.
Les acteurs du commerce
électronique manifestant divers souhaits légitimes.
-Ils veulent être sûrs que les
informations transmises n’ont pas pu êtres modifiées.
-Les messages autorisent le débit
du compte d’un client diovent être signés par ce client pour garantir que nul (
y compris le commerçant) ne peut tirer sur son compte sans une preuve explicite
de son accord.
-Les clients et banques concernés
veulent être sûrs que ces autorisations signées sont uniques et ne peut peuvent
être soumises deux fois par le commerçant.
-Le client peut vouloir demander
au commerçant un engagement signé de livraison de biens ou services, en ligne
ou non, selon le type de marchandise en cause.
-Le client et commerant peuvent
vouloir qu’une tierce partie de confiance assure le paiement correspondant à
l’engagement signé.
-Le commerçant peut vouloir une
garantie de paiement de la part du client avant toute livraison.
-Certains des acteurs peuvent
désirer que les transactions restent confidentielles ; l’identité du
client, du commerçant, l’objet acheté, son montant… ; devant n’être connus
que des parties concernées ou, si la traçabilité est souhaitée, d’un sous
ensemble. Après avoir citer les différents préoccupations des acteurs du
commerce électronique, il se manifeste donc que la plupart de ces
préoccupations mettent l’accent essentiellement sur les les problèmes concernant
la sécurité sur Internet.
Il convient tout d’abord de
présenter les divers solutions réalisées dans ce domaine.
3-Une multitude de solutions de
sécurisations :
Pratiquement pour le commerce électronique
ou pour les échanges de données en général toutes les solutions de
sécurisations vont utiliser ces techniques combinent le RSA pour les fonctions
d’authentification et de non répudation, le DES pour le chiffrement et le SHA
« Secure Hash Algorithm » pour le calcul de sceau.
Néanmoins, les niveaux de
sécurité dépendant directement des besoin, les solutions seront néessiarement
différents, selon qu’il s’agit, par exemple de paiement de petits montants ou, au contraire, de
règlement de transactions commerciales le nombre de slutions, protocole ou
systèmes est impréssionnant et leur évaluation ou comparaison n’est pas aisée.
La plupart de ces solutions sont « privatives » s’appuyant, soit sur
des protocoles devenus des standards de fait, mais dont l mise en œuvre est
spécfique de la solution globale de paiement proposée par tel constructeur ou
tel fourniseur soit des protocoles privés dans des systèmes privés, accessibles
aux seuls clients et commerçants abonnés ou enregistrés.
Les solutions de paiement
classiques (TELE-virement, TELE-règlement) répondant globalement aux besoins du
commerce électronique inter-entreprise. Il n’en est pas de même pour le
paiement concernant le commerce électronique de détail qui pose des problèmes à
plusieurs niveaux.
Actuellement on peut dire que
le moyen le plus utilisé pour les achats de détaiks est la carte bancaire avec
transmission du numéro de la carte sur la réseau en utilisant le chiffrement SSL(Secure Socket Later).
Il convient donc de mieux
préciser ce qu’on entend par SSL.
-SSL « secure socket
layer ».
Proposé par Net cape à
l’Internet engineering tast-force (IETF), l’organisme de normalisation de
l’Internet , le protocole SSL permet à des applications client serveurs de
communiquer en HTTP (Hypertext.Transfert.Protocole), utilisé dans les échanges
les plus courants de pages d’informations.
Les fonctions de sécurité de SSL
sont négociées au début de l’échange, le protocole assure des fonctions de
contrôle d’intégrité et de chiffrement des données mais n’offre aucun
mécanismes de signataire électronique.
SSL constitue la seul base de
sécurisation du commerce électronique dans le monde grâce à sa présence (native)
dans la plupart des navigateurs de commerçants.
Il permet aussi, à moindre
frais, d’offrire un moyen, certes de faible qualité de sécuriser les paiements,
il revient au commerçant de juger des risques qu’il consent à supporter.
On trouve SSL dans de nombreux
systèmes, la plupart des galeries marchandes des grands distributeurs, et indépendance des données transmises, de leur
structure ou de leur qualité, il peut sécuriser. Aussi bien des transactions de
commerce électronique que de banque à domicile ou de services en lignes en
général.
Toujours dans le domaine de la
sécurisation du paiement sur Internet, les opérateurs monétiques internationaux
VISA et MASTERCARD ont mis en œuvre en relation avec des constructeurs
informatiques, une norme pour la sécurisation du paiement électronique, cette
norme s’appelle SET (Secure Electronique Transaction), est basée sur l’échange
de certificat est délivré par un tiers.
La norme SET a été complétée
par deux groupes de travailfrançais (cybercard et E-comm) par la proposition de
l’utilisation des cartes à puce, ce qui a donné la norme C-SET (CHTP.SECURE
ELECTRONIC TRANSACTION).
En effet, en vue de clarifier notre
travail, il convient de préciser ces notions en commerçant dans un premier
point par la norme SET :
SET(Secure Electronique
Transaction) a été conçu, entre autres, par les grands organismes de cartes
pour offrir un environnement totalement sécurisé permettant l’achat en ligne en
toute confiance, contrairement à SSL qui fournit un chiffrement simple des
données (incluant le numéro de carte et le montant de la transaction), entre le
navigateur et l’acheteur et le site de la banque (ou du commerçant) ; SET ,
basé sur l’échange de certificats numériques, va, plus loin le paiement devrait
être aussi sûr que celui effectué physiquement par le porteur depuis un
terminal point de vente réel dans un magasin.
-Mécanisme du paiement par SET
Commande en
lingne au commerçant
Singnataires
électroniques du commerçant et de l’organisme de traitement
Le porteur envoie l’ordre de paiement, sa
signataire électronique, son numéro de carte
et la date d’expiration.
Le commerçant
retransmet ces éléments à lorigisme de traitement.
Celui-ci envoie
une demande de paiement à l’intérieur.
Retour de l’autorisatio de paiement.
Envoie de
l’accord de paiement.
Le client est informé du paiement.
-C-SET : Face aux riques que
présente la solution purement logicielle SET, le groupement des cartes
bancaires élaboré le protocole chip-Set (C-Set), avec pour objectif d’assurer
les paiements sur l’Internet en s’appyant sur le protocole SET mais aussi sur
la carte bancaire à puce BO actuelle.
C’est une solution de haute
sécurité, qui suppluées à son particularisme hexagonal par la présece de
traducteurs garantissant son interoperabilité avec le monde SET. Les
traducteurs permettent, de plus d’absorber les éventuelles évolutions de SET
sans que les modules C-S et des clients et des marchands en soient affectés.
E-comm : Le constorium
e-comm à le même objectif de promouvoir la sécurité des paiements sur
l’Internet au moyen de carte bancaire à puce, à partir d’un ordinateur
personnel équipé d’un lecteur de carte.
Contrairement à C-Set les
mécanismes de sécurités sont purement SET, nécessitant la même hièrarchisation
des identités certifiées.
Strictement conforme à SET, E-Comm
permet aux marchands et aux clients français de commercer avec le monde SET.
Dans le cadre du pilote, pour la
France , l’usage de la carte bancaire dans le processus de
signature apporte aux commerçants la même garantie de paiement que dans le
commerce de proximité, pour l’international, l’usage de SET entraîne également
la garantie de VISA et MASTER-CARD.
Section
2– Le contrat électronique
Introduction : A quelles
règles juridiques le commerce électronique est-il soumis ? et quelles
précautions doivent être prises avant d’ouvrir un site commerciale sur
Internet ? c’est à ces questions que nous essayons de répondre en citerons
plus particulièrement les problèmes liés à la conclusion d’un contrat en ligne,
ainsi que ceux de la signature électronique.
En effet, il convient donc de
répondre à ces questions sans prétendre pour autant envisager de manière
exhaustive les multiples problèmes succeptibles de se poser à tout entreprise
ou à tout établissement de crédit soucieux de se positonner sur le WEB.
Paragrahe
1– La loi applicable aux obligations contractuelles
On n’envisage
ici que le cas de contrats conclus avec des consommateurs, les contrats entre
professionnels étant soumis à des règles distinctes selon les types de
contrats.
S’agissant des consommateurs
résidant dans l’union Européenne la convention de Rome du 19 juin 1980 est
aujourd’hui le texte auxquels il faut se référer pour déterminer cete loi. En
effet :
-Elle a vocation à s’appliquer
aux situations comportant un conflit de lois dans quasiment tous les pays
européens, elle s’impose aux juridictions des états contractants .
-Et vise l’ensemble des
obligations contractuelles à l’exception de quelques matières limitativement
énumérées (état et capacité des personnes testaments, succession, régimes
matrimoniaux, relations de famille, obligations nées d’effets de commerce,
contredits d’assurance,…etc).
La convention de rome consacre
la règle dite d’autonomie de la volonté des parties-celles-ci peuvent librement
choisir la loi applicable au contrat et ont sans lieu effectif avec celui-ci
sous réserver du respect imposé par la convention des obligations impératives de l’état auxquels se
ratache normalement le contrat.
Les parties disposent
également d’une grande liberté par l’expression de leur choix lequel peut même
résulter des circonstances de la cause.
En ce qui concerne, les
consommateurs ne résidant pas dans un pays de l’union européenne, la loi
applicable sera, en principe, fonction des règles de conflit de loi du pays du
tribunal saisi, celles-ci pourront ainsi conduire à l’application de la loi
étranger : (loi américaine par exemple), ce qui estsource d’incertitude
pour le commerçant. Toutefois, les règles de conflits de loi établis dans le
monde prennent généralement en compte la loi choisi par les parties pour autant
qu’elle ne porte pas atteinte aux lois impératives de pays du tribunal saisi.
Paragrahe 2– La
conclusion d’un contrat en ligne.
Comme le fait
justement remarquer à Ben Soussan dans son ouvrage « Internet, aspect
juridiques » ; « la formation d’un contrat à distance soulève
certaines questions principalement liées à la dématérialisation du processus
contractuel ».
En effet, les parties
n’étant physiquement présentes lors de la conclusion du contrat, vont se poser
tous les problèmes que l’on évoque à chaque fois que l’on rencontre le contrat
passé à distance. La spécificité des « cyber contrat » par rapport au
contrat passé à distance va provenir du support numérique sur lequel transite
e-contrat. Ainsi convient_il de distinguer entre les problèmes généraux des
contrats conclus à distance et les problèmes dûs à la numérisation du support .
1-les problèmes
communs aux contrats à distance.
A-Lieu, date, intégrité et
identification : Une première série de problèmes proviennent de la
distance qui sépare les contractants au moment de la signature du contrat.
Ainsi en est-il des questions de la détermination du momentet du lieu de conclusion
du contrat. A ces problèmes il faut ici encore, ajouter ceux l’authentification
des parties, leur capacité à contracter ainsi que la nécessité de la
sécurisation de l’intégrité du contrat envoyé.
La détermination du moment
et du lieu est d’un intérêt pratique notable en droit français, surtout en cas de
litige. Le moment fixe la date du transfert de propriété et la charge des
risques en cas de perte de la chose vendue. De plus, la question de la
révocation de l’offre sera, elle aussi directement liées à la date de
l’acceptation, tant que le contrat n’est pas formé, l’offrant peut retirer son
offre qui n’avait jusque là qu’un caractère unilatérale, donc non irrévocable.
A coté de ces problèmes,
assez classiques, il faut encore ajouter ceux qui sont fait de la numérisation
du contrat.
2- Les problèmes
spécifiques dûs au support numérique
-Preuve du contenu, du
consentement et des signatures, il s’agit ici des problèmes dûs au format
numérique de contrat en l’absence de documents écrits sur son support
traditionnel qu’est le papier, qu’en est il de validité d’un contrat dont en ne
peut prouver le contenu du fait de la facilité qu’il y a à rajouter ou à
supprimer les termes ! un simple E-mail peut-il s’il est suffisamment
précis, valoir comme contrat ? quelles sont les formalités qui sont
requises pour la signature ? peut-on considérer que l’entête d’un E-mail
vaut signature ? que des initiales ou le nom de l’expéditeur sont suffisants
alors-même qu’il est si facile de taper soit-même le nom de ce dernier en bas
du message ? qu’elle la validité des conventions sur la preuve s’agissant
de données numériques ?
En fin, comment prouver le
consentement, tels seront les principaux problèmes auquel il faudra trouver une
solution.
Section 3- La
signature électronique
Introduction :
La directive européenne
1999/93 du 13 décembre 1999 a
pour objectif de créer un environement juridique propre à favoriser le
développement de la signature électronique et d’éviter que des ligislations
national en la matière porte atteindre à la libre circulation des biens et des
services.
En effet, les paiements sur
réseaux ouvert la question de la preuve. Si la signature électronique est
désormais admise pour une transaction par carte bancaire, des problèmes
subsistent, notamment actuels, une modernisation du droit s’impose donc.
1-Un droit positif
autour du support papier.
Pour le code
civile, tout acte juridique dont la valeur excède une somme de 5000 francs
impose de passer un écrit original, c’est-à-dire un écrit de la main de l’homme
ou à tout le moins, signé et approuvé par la main d’homme, ce principe appliqué
à la littre semble condamner définitivement le média électronique et les
relations de pur commerce électronique. Au- dessus de ce seuil, c’est donc
l’écrit original qui s’impose et qui doit être préconstitué. A défaut de
produire un tel document, on applique l’adage«pas de preuve,pas de
droit »«le cas de la signature électronique est particulier,comme c’est la
règle traditionnelle,dans un contrat écrit, »c’est la signature originale
qui s’est conçue marquer l’expression du consentement,le document,revê de la
signature,est supposé identifier son auteur et traduire le consentement du
signature présumé.
Il n’y a en fait,aucune
certitude sur l’identité de l’auteur de la signature lorsqu’il n’est pas
physiquement présent,mais la tradition et la sanction pénale du faux en
écritures rassurent.lorsque le contrat est télétransmis,on perd toute
référence,il n’y a plus de signature et,du coup,l’idée que l’émetteur m’a plus
de moyens de manifester son accord apparaît.
2-la signature électronique
peut être valide
Le cour d’appel de montpellier et
la cour de cassation ont reconnu la validité de la signature informatique
composée de code secret et de la présentation de la carte bancaire,dans le cadre
d’un règlement par carte de paiment,ilconvient cependant de remarquer que ces
solutions jurisprudentielles ont été rendues possibles dans la mesure aussi
où,dans ces affaires judiciaires,il n’était allégué ni de règlement du système
informatique,ni la perte du numéro-Secret par le débiteur.les régles sur la
preuve n’étant pas d’ordre public,les parties pouvaient décider contre
actuellement de se libérer de la règle de«l’écrit signée ».
Il semblerait qu’une nouvelle
génération d’ordinateurs sorte prochainement et soit équipé d’un système
d’identification par une carte à puce que l’utilisateur rentrait dans un
lecteur prévu à cet effet dans l’ordinateur. Dans l’attente de ce progrès,on
peut estimer que la signature,en dehors de toute convention spéciale,et en ce
qui elle prouve le consentement, peut résulter de toute manifestation ayant un
caractère suffisamment personnel.
Il faut ajouter que certains services
sécurisés proposent des solutions de chiffrement,c’est-à-dire de cryptage,ce moyen
permet de se rapprocher considérablement de la signature,infalsifiable ainsi,il
suffit simplement récepteur d’envoyer l’adresse électronique du correspondant
ainsi que la clé qui y figure,pour valoir signature ;ce service vérifiera
ensuite si les deux coincident bien. Il jouera
en quelque sorte le rle d’un tiers certificateur.
Partie
2:
Les
nouveaux «engineerings» du marché marocain à la lumière du Web
Chapitre 1 : Quelle e-commerce
pour quelle économie ?
Introduction :
Le commerce électronique est un
ensemble d’outils étroitement liés entre
eux et qui le défi à relever consiste à utiliser simultanement ces differents
outils sont privilégier un instrument plutôt qu’un autre, afin de realiser
efficacement toutes les taches de commercialisation. En effet, les technologies
de l’information ont été considérées comme le principal axe sur lequel se
déroule le développement du e-commerce.
Le maroc a bien saisi l’importance des
nouvelles technologies en tant comme moyen de relever les défis soulevés par
1’ére de la nouvelle économie, c’est ainsi que notre pays n’a donc pas hésité à
agir dans ce domaine, en exprimant également sa volonté par le fait de
s’engager dans la societé de l’information.
Dans ce chapitre nous aborderons dans
un premiere section la révolution accompli par le Maroc dans le domaine des
technologies de l’information en traitant puis précisement l’accés de notre
pays à la société seconde section sera réservée à l’étude de la mise en œuvre
de l’EDI (Echange de donnée informatisée) par notre pays.
Section 1- le Maroc et les technologies de l’information.
Paragrahe 1– l’évolution vers la société de l’information contrainte et nécessité pour le maroc.
1-
La société de l’information :
conteste et en jeux.
Le mariage de l’informatique et des
télecommunications est entrain de générer une nouvelle révolution aussi
importante que la révolution industrielle basé sur l’informatique expresssion
par essence de savoir, elle est le fruit de progrés technologiques qui
permettent désormais de traiter, de stocker, de
transmettre et de chercher toute information, qu’elle soit écrite, orale
ou visuelle, de façon presque totalement indépendante des distances, du temps
et du volume. Cette révolution ajoute des nouvelles capacités à l’intelligence
humain, et met à notre disposition de nouvelle ressources ce qui nous améne de
façon certaine à travailler autrement , et manifestement, à vivre
différemment. Comme toute changement cette évolution provequera des
bouleversements profonds sur différents plans, modifiera de fond en comble les
modéles de fonctionnement de nos entreprises, voir notre société.
A priori l’evolution vers la société
de l’information est un phénoméne multidimensionnel, il convient donc d’aborder
quelques dimensions afin de déceler les différentes changementss réalisé à
travers cette évolution.
a)-La dimension
économie.
Après
la révolution qui a vu apparition des industries lourdes , et la migration
progrissive de la main d’œuvre de secteur agricole vers l’industrie puis l’apparition
et le développement du secteur des services tout en long du vingtieme siecle ,
une autre mutation profonde est entrain de s’opérer avec des conséquences
importantes en matiére économique et sociale. En effet, cette révolution
modifiera sans conteste les modéles de fonctionnement de nos entreprises ;
la globalisation que d’aucun redoutent et d’autres appellent de leurs vœux est
rendue encore plus rapide par les réseaux.
En effet, la mondialisation
s’accelére avec la capacité d’utiliser des moyens de transmettre des
informations ou d’y accéder.
Cette révolution spectaculaire des
nouvelles tyechnologies intervient dans un contexte socio-économique mondial
caractérisé par la prédominance des lois de l’économie de marché ou
s’internationalisent-les échanges commerciaux elle est par ailleurs le moteur
d’une nouvelle industie, dont le chiffre d’affaiores dépasse largement le
millier de milliard de dollars, avec l’un des plus forts taux de progression de
toutes les industries.
b)-La dimension technologique.
L’évolution vers la société de
l’information n’aurait pas été possible sans le spectaculaire développement des
technologies de l’information, qu’il s’agisse des processeurs, des mémoires de
stockage, des logiciels ou des réseaux, la devise semble être, plus de
puissance plus capacité, plus de rapidité, plus de débit mais à moindre coût.
L’autre caractéristique de cette dimension est que la maîtraise des
technologies de l’information cotrairement à d’autres technologies lourdes est
plus à la portée des pays en voie de développement comme le Maroc, d’une part
les techniques sont largement diffusées dans les écoles, les universités et les
centres de recherche, d’autres part c’est un monde en mutation où les positions
ne sont jamais définitivement acquises et enfin l’acquisition de ces techniques
et plus raide et moins coûteuse que dans d’autres domaines ?
c)-La dimension globale.
L’une des caractéristiques des
technologies de l’information est qu’elles réduisent de manière drastiques les
contraintes de distance et de temps ; tout ce qui peut être numérisé peut
être transporté sur les réseaux et devient donc global. Cela concerne les
produits ou les services économiques dans la finance, les assurances, le
commerce et les loisirs par exemple, mais cela concerne aussi la formation,
l’éducation, la culture et les médias.
En effet, la relation entre le
développement et le commerce étant évidente, ce dernier est en train d’évaluer
de façon extra-ordinaire sous l’influence des nouvelles technologies de
l’information, de tout temps le progrés économique s’est réalisés autour de
routes commerciales, terrestres ou maritimes. Aujourd’hui il s’organise autour
d’axe électronique portés par les télécommunications.
2-Nouvel espaces des NTI :
A quand la «silicone valley » marocaines ?
Les technologies de
l’information ont le vent en poupe chez nous aussi : Décidé à entrer de
plain-pied dans la société de l’information, le Maroc a amorcé le processus en
ouvrant d’abord le secteur. Aujourd’hui , c’est tout un espace qui sera
dédié aux NTI (nouvelles technologies de l’information). Il s’agit de
l’ex-immeuble de la douane.
Un immeuble qui vaut tout de
même 250 millions de dirhams. C’est d-à-dire l’importance accordée aux NTI. Et
c’est S.M le roi Mohamed VI qui a inauguré le lieu. Le nouvel devra être prêt à
accueillir les premieres entreprises. C’est le SEPTI (secrétariat d’état à la
poste et aux technologies de l’information, l’APEBI et le minestére des
finances qui sont en charge de ce dossier l’idée et de transformer ce batiment
en espace didié aux sociétés dans le domaine des nouvelles technologies. Le
Maroc sera d’ailleurs le premier pays dans la region à avoir son espace NTI. Il
sera loué donc à des starts up, des sociétés existantes marocaines ou étrangères
ainsi qu’a des incubateurs.
Les prix seront attractifs,
jusqu’à 50% des prix normaux, affirmant les chefs de file de ce projet.
L’espace sera géré par un organisme spécialisé qui se chargera également de la
promotion aussi bien au maroc qu’à l’étranger. Situé sur la route de l’aéroport
de casablanca, dans un quartier où l’on trouve des entreprises comme IRM oracle
et qui sera certainement le nouveau
centre des sociétés à valeur ajoutée. Le batiment est construit sur une surface
de 29400 m2 avec en tout 350 unités bureaux, des salles
de réuinions et des conférences et des restaurants. L’immeuble est équipé
d’infrastructures modernes (cablage informatique et téléphonique, systéme de
contrôle…
3- Quelle statégie pour le Maroc ?
a)- la mise à niveau de
l’entreprise.
Les entreprises
financières, commerciales, industrielles où de service sont appellé à déployer
de grand effort en vue de s’adapter aux éxigences de la mondialisation de
l’économie. Elles ont garnd besoin d’accroitre leur rentabilité leur
compétitivité sur un marché marqué par le partenariat, la globalisation et
l’ouverture des frontières, les technologies de l’information sont un atout
considérable en ce sens qu’elles sont un outil efficace de traitement et
d’échange prompt de l’information. En effet, la gestion des volumes importants
et divercifiés d’information, la prise opportune de décision et l’échange local
et éloigné de cette information ne peuvent étre accomplis correctement sans le
concours des technologies de l’information. Aussi, les technologies de
l’information sont indispensables pour la mise à niveau du tissu économique nationale pour faire face
efficacement aux échanges à venir.
De plus, l’utilisation des
technologies de l’information pourrait être un levier important pour le
développement de l’ économie nationale et sa promotion à l’éxterieur du
pays et attirer en conséquence plus de capitaux et des investissementq étrangers.
b)- l’émergence d’une industrie nationale de technologie de
l’information.
Le Maroc doit se doter d’un moyen
d’entreprise, opérant de maniére efficace dans le secteur des nouvelles
technologies, et construit autour des entreprises déjà existantes et des
compétences locales. L’objectif à terme est de diversifier la protection et
accroître progressivement la part des industries du savoir, particulièrement
l’industie du contenu dans la rechesse nationale. Le Maroc doit être également
à même de se positionner en tant que pôle de compétence sur la chaîne de
production des technologies de l’information aux niveaux internationales, tous
ces objectifs pourraient être traduites dans la pratique, en se fixant du taux
de croissance moyennes annuelles progressifs à atteindre pour ce secteur, de
maniére à engendrer, à terme, directement ou indirectement une croissance
significative au niveau national, grâce à l’industrie des technologies de
l’information.
c-Les défis à surmonter pour
l’engagement dans les technologies
de l’information.
Le gouvernement du maroc à pris
conscience de la nécessite et de l’importance de s’engager dans les technologies
de l’information en général et ldans le commerce électronique en particulier,
c’est à cause de cette raison que celle –ci fait à quatre défis que nous sommes
entrain de citer
-Premièrement, il
serait sage de la part du gouvernement du Maroc de démanteler ce segment de
l’admnistration qui n’est pas favorable au marché, par exemple : en
maettant à niveau et en rendant plus transparantes les réglementations
commerciales qui n’encouragent pas le développement d’un secteur privé
dynamique.
- Deuxièmement, le gouvernement
du Maroc doit encourager à promouvoir activement la cocurrence en matière
d’infrastructure, clef du développement d’Internet et du commerce électronique,
en l’occurrence les télécommunications et les systèmes financiers (ces deux
objectifs, qui peuvent être encourager pour promouvoir la croissance des
technologies de l’information, airont des effets salutaires sur la promotion de
l’activité économique en général).
-Troisièmement, il est
recommandé que le gouvernement du Maroc mette en œuvre un système fiscal
transparent et équitable qui incite à l’utilisation des technologies de
l’information et simule le potentiel générateur de bénéfices des entreprises
privées actives dans le secteur des technologies de l’information.
- Quatrièmement, comme les secteurs publics et privés marocains
peuvent ne pas être conscient du potentiel offert par Internet et par le
commerce électronique, le gouvernement du Maroc est encouragé à promouvoir
activement l’accès aux technologies de l’information et à Internet à travers la
dissémination de l’information, la sensibilisation et les projets pilotes.
4-Un contrat progrés pour une
dynamique coordonnée.
Consciente des enjeux qui se
présentent pour les entreprises marocaines et des chances du pays pour adhérer
lui aussi à la révolution technologique, l’APEBI, Association des professionnels des
technologies de l’information a préparé un «contra progré » pour le secteur
partant du constat que le marché mondial des technologies de l’information (TI)
connaît un croissance importante de 10 à 12% grignotant des parts de PNB
mondial, le contrat progrés comporte une analyse sur le potentiel de ce secteur
au Maroc face au développement de la nouvelle économie et de ses enjeux,
l’objectif tant que le pays se positionne très rapidement aussi bien sur le
marché national que sur le international pour entrer dans la société de
l’information. Pour cala une moblisation des opérateurs aussi bien publics que
privés et leur coordination sont nécessaire
pour donner une impulsion à ce secteur.
L’APEBI a pour sa part déjà
déployé son programme d’actions 2000/2001 (actions de formation avec l’OFPPT,
sit expo 2001, participation au salon international de la sous-traitante et au
symposium internationa des ressources humaines….) les facteurs du secteurs ne
ménagent pas non plus leurs efforts et beaucoup d’entre eux jouent le rôle
d’éducateur. Les baisses successies des coûts des communications, du matériel
ou de la connexion Internet permettant au citoyen moyen de se connecter à un
prix abordable.
Paragrahe
2– Internet et commerce électronique Maroc.
Les défis qu’Internet et le commerce électronique présentent aux
yeux des gouvernements poussent les décideurs politiques à essayer tant bien
que mal de trouver le meilleur moyen pour traiter ces changements, d’une part,
Internet étant un système fluide, une approche de laissez faire s’avère
nécessaire et c’est le secteur privé qui doit prendre l’initiative de développer
le commerce par Internet et par voie électronique. D’autre part, il est
recommandé que le gouvernement formule une déclaration claire et consistante
des objectifs qu’il ambitionnede réaliser, afin que cette déclaration serve
comme oientation pour le secteur privé et l’aide à évoluer avec confiance.
Le gouvernement du Maroc peut jouer
un rôle de premier plan dans l’encouragemet du secteur privé à prendre les
usages que les autres compagnies et consommateurs font d’Internet et du
commerce électronique au Maroc et par le monde.
En effet, le gouvernement du Maroc
doit promouvoir et encourager l’utilisation d’Internet pour préparer les
entreprises à lancer leurs propres inventions qui répondent mieux aux exigences
de consommateurs et des entreprises du Maroc et celles des marchés potentiels à
l’étranger. Les profits du commerce électronique et d’Internet ne sont
réalsables que si le secteur privé prend conscience de ces profits et commerce
à innover d’une manièreque ni lui , ni le gouvernement, na peuvent en fait
prévoir.
Section
2-Le commerce électronique : une nouvelle exigence pour l’économie
marocaine.
Paragrahe 1-Mise en œuvre de
l’EDI(échange de données informatisées) : une contrainte pour l’économie
marocaine .
1-L’EDI moyen d’adaptation aux
défis de la libéralisation de l’économie
et l’ouverture des frontières
marocaines.
Le commerce électronique,
c'est-à-dire l’application des nouvelles
technologies de l’information et des communications à l’échange
d’information et aux transactions entre les acteurs de l’économie, permet
aujourd’hui de relever les défis de la mondialisation. L’émergence rapide de
produit et de solution issues de ces nouvelles technologies, œuvre désormais un
nouvelle ère qui bouleversera inéluctablement aussi bien les méthodes de
travail traditionnelles des entreprises que les habtudes actuelles des
consommateurs. Cette nouvelle ère à offre des grandes perspectives de
développement socio-économique car le commerce électronique destiné a amélioré
la souplesse, la créativité, la vitesse de mise en œuvre des processus
d’échange commerciaux, va accroître la qualité des prestations, et par-dessus
tout, facilitera les partenariats.
L’échange de données informatisées
(EDI), connu depuis les années 60 et utilisé aujourd’hui par plus de 400.000
entreprises et institutions à travers le monde, demeure la principal
manifestation du commerce électronique l’EDI fait référence à un concept bien
précis puisqu’il s’agit d’un écange, sous une forme électronique et structurée
selon des règles préétablies et convenues, des documents commerciaux usuels
génératrice de sur coûts, pénalise les opérateurs marocains dans un contexte de
concurrence mondiale de plus en plus vive.
Une partie des lenteurs actuelles, au
niveau de l’accomplissement des formalités par les opérateurs du commerce
extérieur, réside dans l’abscence d’interconnexions en des systèmes
d’information des divers intervenants les deux systèmes d’information majeurs,
SIPOR de l’office d’exploitation des ports (ODEP) et SADOC de l’administration
des douanes et impôtts indirects (ADII), ne communiquent pas entre-eux tant en
raison de l’hétérogénéité des équipements et matériels utilisés que de la
disparité des données traitée par chacun des systèmes. Les documents transmis à
l’ODEP et aux douanes tels que le manifeste cargo fourni par les agents
maritimes, sont saisis manuellement de multiples fois au niveau de chaque
système, selon des formats internes spécifiques les retards sont aggravés par
l’abscence totale de liaisons avec le réseau bancaire et les autres autorités
concernés.
L’ODEP et l’ADII admettent
aujourd’hui qu’il convienderait de mettre en place une solution EDI pour la
communauté portuaire de casablanca comme première étape. Une telle solution
automatiserait les échanges de données entre les systèmes d’information des
divers acteurs du prt de casablanca et permettrait l’accès au moment oppurtun à
une information précise et utile, l’utilisation de l’EDI est destiné, par la
suite, à être élargi aux principaux ports de trafic de marchandises. La
mondialisation de l’économie donne une nouvelle dimension à l’ EDI et accroît
son importance. L’EDI est en train de devenir un élément moteur du commerce
internationa. L’évolution des besoins en matière de logistique, le volume et le
coût de traitement des documents échangs la multitude des intervenants sont
autant de facteurs d’accroissement de la complixité des flux commerciaux.
A la vitesse où le monde évolue,
l’EDI n’est plus un choix. Il ne se limite pas à changer la manière dont les
organisations communiquent entre elles, mais il change leur manière de
travailler. Le Maroc, confronté aux défis de la libéralisation de son économie
et de l’ouverture progressive de ses frontière, à le devoir d’aller de l’avant
en adoptant l’EDI comme levier de mise à niveau de ses entreprises, de son
administration et d’amélioration de la compétitivité de son commerce extérieur.
2-Mise en œuvre de l’EDI au port de
casablanca.
Dans le cadre de son programme de
facilitation du commerce extérieur
Marocain, le ministère du commerce,
de l’indutrie et de l’artisanat (MCIA) a décidé d’aller de l’avant avec un
projet de mise en œuvre de l’EDI au port de casablanca, ce projet sera censé,
par ailleurs, accélérer le parachèvement des efforts entrepris jusqu’ici en
manière de simplification et d’harmonisation des procédures du commerce
international, puis de normalisation documentaire.
Le projet de mise en œuvre de ll’EDI au
nport de casablanca est d’une importance cruciale pour la compétitivité du
commerce extérieur marocaine. En effet, à l’heure actuelle et comme dans
d’autre payé le délai moyen de séjour des marchandises dans le port a baissé
beaucoup, ce délai est de 2 à3 jours. Cette situation d’affaires (facturs,
déclarations, avis,…….) entre les systèmes informatiques de différentes
organisations, sous sa forma la plus intégrée, l’EDI est l’automatisation
complète d’une transaction commerciale, les systèmes informatiques des
partenaires impliqués assurant de façon autonome, sans intervention humaine, le
processus complet de création, d’autorisation, de transmission,
d’interprétation des documents et même de paiement.
Tous les secteurs d’activités sont
cocernés par l’EDI et la question n’est plus aujourd’hui de savoir «si »
il faut adopter ou non l’EDI, mais plutôt «quand », l’EDI est, à la base
une solution de productivité pour les organisations en éliminant des activités
routinière et manuelles telles quelles saisies répétitives d’informations
rebondantes, les traitements et tâches associés aux documents-papier, l’EDI
permet de réaliser des économies de dépenses significatives a fiabilité et la
transmission rapides de l’information échangée par voie EDI ont donc un impact
clair sur les coûts de transaction et la durée du cycle commercial.
L’EDI considéré comme «une
nouvelle façon de traiter des affaires » est non simplement comme une
technique de réduction des coûts ou un substitut aux systèmes papier, devient
alors un vecteur de changement stratégique. Dans ce cadre, l’EDI apparaît
d’abord comme un puissant levier d’amélioration des opérations de l’entreprise
et ce grâce à son intégration aisée aux autres technologies et systèmes de
gestion dont il am éliore les performances, à la révision des méthodes de
travail et façon de faire traditionnelles auxquelles il incite et à
l’amélioration de la productivité du personnel.
3-L’EDI entre en fonction à l’Aéroport
Mohammed V.
Le Royal air Maroc et l’Administration
des douanes et impôts indirects (ADII) ont entamé à partir du 1er
novembre un nouveau type de partenariat, il s’agit de l’exploitation du système
«d’échange de données informatisée » (EDI) pourla transmission du
manifeste aérien par procédé informatique. Cet accord, qualité de «grand
événement » par M.Hassad, PDG de la
RAM , lor d’une conférence de presse au siège de la compagnie
permet la transmision automatisée de l’information entre les deux entiés sans
ressaire, avec des gains importants en temps et en fiabilité et et une
réduction du risque d’erreur.
A cet effet, une convention
triprtie d’interchange EDI a été signée entre les différents innervants, à
savoir MM.AbdErrazek EL MOSSADEQ, directeur général de l’ADII, Mohamed Hssad et
le DG de global Net Work systèmes (GNS), founisseur de réseaux à valur ajoutée.
En effet, les déclarations sommaire
envoyées par la RAM
et les réponses douanières de l’ADII qui se font habituellement sur des
supports papiers, seront remplacées par des messages EDI transmis à partir des
applications infprmatiques interne, «il n y aura presque plus de papiers qui
circulent », selon les propres termes de M.Hssad, de même, les employés de
la RAM n’auront
plus à effectuer de saisie supplémentaire. Les informations sont extraites
directement et automatiquement du système informatique PELICAN (centre situé en
France qui centralise les opérations au niveau international). Le coût des
communications par téléphone, fax, télex ou envois postaux, s’en trouvent
également réduits de manières significatives.
Paragrahe 2-Le Maroc face à la
dynamisation du commerce
Electronique.
La plupart des purs développés ont
bien saisi l’importance que revêt le commerce électronique dans le
développement économique, c’est à partir de ce constat que la plupart de
ceux-ci ont mis an œuvre des straatégies ainsi que des politiques pour la
préparation d’un environnement favorable à l’encouragement et à la stimulation
de ce phénomène.
Notre pays lui aussi n’est pas
hésité à agir dans le domaine.
En effet, le Maroc a accordé
dernièrement une importance considérable au développement du commerce
électronique, toutefois il est nécesaire de signaler aux diffrent débat et
conférences qui ont été pris et assisté par plusieurs acteurs et promoteurs qui
ont pour préoccupation d’amener ce processus dans la bonne voie.
C’est ainsi qu’a travers
la journée sur «le commerce électronique » qui s’est déroulée à RABAT, le
03 juin 2002, on s’accorde sur le début d’apparition des premiers signes qui
traduisent aussi bien le réveil du Maroc que la prise de conscience de
l’importance que revêt le commerce électronique dans le nouvel ordre du
commerce mondiale, mais aussi la nécessité pour que le Maroc se joigne au club
restreint des pays leaders dans ce domaine eu égard à l’ouverture de son
éconoimie et à l’importance du commerce internatinal dans son développement socio-économique
en effet cette journée d’étude était co-organiser par le ministre de
l’industrie du commerce et de l’artisanat (MICA) et le secrétariat d’état
changé de la poste et des technologies de l’information (SEPTI) en
collaboration avec l’association des professionnels des technologies de
l’information (APEBI). Cette manifestation à également bénéfice du soutien du
groupement pofessionnel des banques du Maroc (AUSIM), du Morrocan Internet
society (MISOC) et du centre marocain de promotion des exportations.
Cette journée d’étude a connu aussi
la participation d’éminents intervenants relevan du secteur privé et public,
elle s’est distinguée par la présence d’expert internationaux, dont plus
particulièrtement Messieurs Bernard Stoven, secrétaire général de SIMPRO
France, le shlenker de l’école supérieur de commerce à Grenoble, serafino
MARCHEESE, de l’OMC.
D’après ces considérations, on
conclu donc qu’à l’instar des pays développés, le Maroc lui aussi a pris
conscience du poids du commerce électronique dans le développement économique.
Pour cet effet il convient donc d’amener le lecteur à envisager les efforts
accomplis par le Maroc dans le but d’élever son niveau et d’améliorer son rang
dans le classement au commerce mondial.
Dans ce qui suit l’accent
sera mis les ntreprises Marocaine en s’intéresant à ce qu’ils ont réalisés dans
le domaine du e-commerce puis nous amènerons le lecteur à envisager ce qu’à
réelisé notre pays aussi dans le domaine juridique du e-commerce en citant à
titre d’exemple : La réglemntation juridique/sécurité/paiement.
Chapitre 2 – Les
nouvelles technologies du marché marocain à la lumière du web .
comme beaucoup de pays, le Maro aussi
prnd de plus en plus conscience de l’importance des enjeux de commerce
électronique (C.E) et de la nécessité de se joindre aux pays leaders dans ce
domaine,de ce fait un intérêt croissant est de plus porté sur ce secteur.
En effet, à l’instar de ces pays, le
Maroc présente, certes des écarts par comparaison aux pays pays développés,
cependant et fort heureusement, cet écart n’est pas incomprssible et peut être
comblé de manière relativement plus rapide que dans plusieurs autres domaines,
ceci est d’autant plus à notre porté que le Maroc dispose d’un riche potentiel
de compétences, principal facteur de développement de ces technologies ceci est
aussi plus aisé dans la mesure où les investissements physiquers et financiers
que requièrement le développement du C.Erestent reletivement peu capitalises.
Il est donc nécesaire de maître en place des conditions favorables à la
maîtrise au développemnt de cett technique d’échange et à l’élaboration d’une
vision stratégique pouvant à terme, hisser le Maroc au rang de pourvoyeur à
l’échelle continentale voire mondiale, en produits et services échangeés par le
biais du C.E dans ce qui suit, nous
allons voir quelques initiatioves juridiques en matières du C.E au Maroc ainsi
que son aspect réglementaire, sécurité et paiement, enfin nous allons analyser
les conditions mise en place dans dans un environnement financières pour ce
secteur.
Section 1– Le C.E une nouvelle
réalité pour les les entreprises
Marocaines.
Il est unanimement reconnu que la taille
d’une entreprise n’est désormais plus un obstacle, les facteurs clés de
compétitivité sont aujourd’hui la flexibilité, la réactivité t la capacité à
innover.
C’est pour cela que plus vite les
entreprises prendront conscience de l’importance de s’inscrire dans la nouvelle
économie, «il est de plus en plus difficile de fonctionner au 21ème
siècle avec une entreprise conçue au 19ème siècle ».
exipliquait Daniel long, formateur Web au cntre de formation français Négocia.
En effet, l’évolution technologique
s’accélère, la mondialisation des marchés accroît les échanges et de nouvelles
pratiques de travail apparaissent.
Les secteurs marocaines du secteur des
technologies de l’information assument non seulementleurs fonctions d’entreprises
de services, mais ont aussi pour le moment un rôle «d’éducateurs ».
« Nous avons un démarche pédagogique par rapport à l’offre » confirme
Karim ZAZ, directur générale de Maroc connecte.
L’entreprise a un besoin
certain d’accompagnement puisqu’elle ne peut faire du commerce électronique
d’emblée. Elle se doit d’aller très progressivement dans la mise en place de sa
« net stratégie » en termes de sensibilisation interne du bpersonnel
et d’étude des besoins de l’entreprise.
1-L’entreprise Marocaine face à la
nouvelle économie :
Les marocaines sont preneurs de
technologie lorsqu’ils ont des produits à prix compétitive et des services
adaptés par ce qu’ils veulent appartenir à cette nouvelle économie déclare
NASSER Hajji, secritaire d’Etat aux postes et technologies de l’information.
Internet présent d’ailleurs de nombreuses opportunités pour le royaume et ses
entreprises qui peuvent devoir plus compétitive grâce au net.
A partir du mois de janvier 2001 de
nombreuses entreprises ont mis en place
leur site Web et depuis juin 2001 , ce sont trois licences V-Sat qui ont
été attribuées à des opérateurs d’étrangers malgré le nombre encore faible des
internautes.
Les cybers providers ont permis à un
grand nombre de marocains de se familiariser avec les nouvelles technologies,
il existe au maroc près de 1600 cybers prividers selon Samira Khalouk,
responsable de département communication au sein de l’ARNT, mais cette
floraison ne reflète pas la réalité de cette nouvelle activité qui n’a pas pu
résister à une concurrence acharnée de grands opérateurs, notamment Maroc
Télécom. Le prix d’une heure de connexion à baissé de 50 Dh en 96 à 5 voire 4.5
dh actuellement ; de plus les offres de connexion à domicile ont fléchi pour
que Maroc Télécom accroître son nombre d’abonnés.
La société Maroc télé-commerce,
jeune start-up vient de lancer, sur le marché national le e-commerce, sa mission
est d’intervenir dans la création et l’exploitation de stes Marchands allant de
la crédition du magasin commercial sur le réseau et son hébergement à
l’identification des commerçants. Les sites des clients seront référencés dans
les principaux moteurs de recherches. Maroc télé-commerce va plus loin, elle se
charge, aussi de la gestion des transactions allant de la valorisation du bon
de commande électronique par l’acheteur jusqu’au traitement du paiement. Le
processus ne s’arrête pas là puisque la société se charge de confirmer la vente
en délivrant un nécessité électronique au client virtuel. La supervision du
paiement est également assurée par Maroc Télé-commerce et ce à travers des
cartes bancaires notamment Visa et Master card,ou bien à travers un paiement
off-lien ou par porte-monnaie électronique.
2-Des sites marchands au
Maroc :
Le e-commerce fait ses premiers
pas dans notre pays, c’est un domaine fort promoteur mais qui est caractérisé
par une cocurrence extrêmement rude, en tout cas au niveau mondial. Les
préparatifs vont bon train pour le lancement de la 1er expérience
concrète du e-commerce au Maroc les 3 opérateurs privé sélectonnés par le
gouvernement pour la mise en place une plate-forme de commerce électronique au
profit des coopératives, peuvent passer à l’acte 3 conventions ont été signées
à Rabat par leurs représentants d’une part et des affaires générales du
gouvernement.
En vertu de ces conventions, les 3 opérateurs signataires (Agro Marché
Maroc Omnidata et Maroc Télé-commerce) s’engagent à assurer la réalisation et
la maintenance de la plate-forme et garantir une qualité de service conforme
aux normes internationales. Ils s’engagent également à domicilier, au Maroc les
transactions et paiements traités par l’intermédiaire de la plate-forme, ce
sera d’ailleurs la 1er fois que des systèmes de paiement
électronique sécurisés seront expérimentés à partir du Maroc. Les 3entreprises
ont investit essentiellement pour obtenir des parts de marché que le
gouvernement promet d’apporter en incitant les coopératives et PME à concevoir
des stites marchands sur le Net.
Aujourd’hui quelques providers
sous le poids et la force de la concurrence ont été à l’origine de
l’apparitionde ce nouveau concept au Maroc ; l’e_commerce peut être
assimiler à ces jounaux de petites annonces à la différence près que les
propositions se font sur des pages Web. Les pionniers dans ce domaine sont
I-Bazar, Dlala Souketo. Voici donc des exemples de sites marchands qui existe
au Maroc ;
* I-Bazar (WWW.Ibzar.com.ma) pouvait depuis le mois juillet
2001 est une plate –forme accueillant toute personne désirieuse d’acheter ou
vendre un article donné, abstraction faite de sa nature concrètment, après
avoir rempli une première page de renseignment, le vendeur propose son produit
et un prix de départ, un délai est alors fixé pour la surenchère.
*Dlala.com a été lancé le 15 septembre 2001, il est le 1er
site de vente aux enchères entièrement gratuit au Maroc, ainsi un véritable
marchévirtuel accueille tout type de vendeur et d’acheteus cofrontant chacun
leurs meilleur offres actuellement il compte plus de 4300 membres (dalalaux).
*SouKeto.com a été lancé le 13 juillet 2001, ce site a été conçu par
connecte com un provider Internet spécialisé dans les PME-PMI qui a également
choisi de se consacrer aux activités génératrices de plus-value. Le site est
basé sur le même principe que celui des 2 autres sites précités.
*Tomobiles .Net est le le premier
portait marocain cosacré 100% à l’automobile sur Internet. Ill arrive à un
moment ou le secteur automobile est en pleine effervescence et où
l’automobilste marocain à besoin d’une assistance professionnelle pour faire
leur meilleur choix . c’est grace à un moteur de recherche qui permet de
consultre selon plusieurs critères (marque, modele , catégorie budgets,
prix …) qu’il facilite la décision d’achat d’un véhicule neuf ou d’occasion.
3-De nouveaux métiers pour le
net-économie :
La nouvelle économie est répartie
en quatre touches différentes et autour de chacune de ces touches , un grand
nombre de nouveaux métiers s’est développé.
Au niveau de son département
Marketing, Biotherm s’est par exemple dotée d’une responsable de la veille
concurrentielle que de New York à Tokyo, prend le poule mondial de l’innovation
dans son secteur. L’entreprise marocaine n’en est pas encore là puisque ce
n’est qu’à un niveau élevé de maturité des marchés qu’il y a une segmentation
de plus en plus fine des postes créant de plus en plus de nouveaux métiers .
La mise en place de leurs sites,
leur développement et leurs hébergements sont donc, pour le moment les besoins
les plus importants des entreprises marocaines. Trouver les ressources humaines
adéquates dans ces domaines s’avèrent encore fastidieux dans un
« net-environnement » en développement. Donc pour chacun de ces
métiers, l’entreprise externatise ses services. Elle a le choix de se faire
accompagnée par un « Web-consultant » par une SSII ou encore par un
provider spécialisé, il s’agit généralement des métiers de configuration et de
l’installation et du paramétrage du réseau
local, puis de l’hébergement des sites ou encore la gestion et la vente
des noms de domaines .
Parallèlement , d’autres métiers propres
aux développement des sites émergent et sont généralement des déclinaisons de
métiers prés existants, il s’agit
d’activités tels le désigne du site, on parlera de web désigner, web
journaliste,de web documentaliste, de web marketeur, ou de web master (personne
qui anime le site),bref, toutes les déclina son web possibles.
4-Le recutement virtuel au
Maroc :
L’internet s’impose de plus en plus comme
un outil privilégié dans la recherche d’emploi. En europe et aux étas unis, le
concept du e-recrutement est vulgarisé. En France par exemple plus de 13% des
PME recrutement via Internet. Freelance. Com une start-up spécialisée dans le
recrutement virtuel, s’est donc aventurée en ouvrant une filiale au Maroc, où
beaucoup de choses restent à faire dans le domaine des nouvelles technologies.
On ne dispose pas de chiffres concernant l’e-recrutement, mais une chose et sûre,
Internet est aujourd’huit très peu utilisé à ce sujet. La raison est simple, le
nombre des internautes est encore très peu utilisé à ce sujet, la raison est
simple, le nombre de internautes est encore très faible au Maroc, avec un coût
d’accès et des prix de matériel informatique très élevés.
La strat-up vise les indépendants
(free-lance). Elle reçoit leurs demandes et se charge de les traiter et les
classer. Elle dispose d’une base de données diversifiée et dotée d’un systéme
de Scoring qui permet de placer la bonne personne au bon poste. Mohamed
Benbobker directeur général de Freelance. Com se charge lui-même d’interviewer
les condidats potentiels. Ce processus est moins cher qu’un recrutement
classique. Le rôle de cette start-up est d’aider les entreprises à minimiser
leurs charges et réduire les démarches des demandeurs d’emploi.
Ainsi Initiative groupe (Cabinet
de conseil, formation et recrutement par Internet) vient de lancer à l’occasion
de son premier anniversaire, un forum virtuel de l’emploi intitulé
« initiative e-emploi ». cette manifestation qui a démarré du 15
janvier au 31 du même mois sur le site : WWW.Initiative.Co.ma.
M. Reda Yahyaoui directeur général
du cabinet à précisé que ce forum. Vise à mettre en relation les condidats en
quête d’emploi ou d’une évolution de carrière avec des entreprises. Le forum
est également un espace d’information de conseil et de discussion la
participation est gratuite et la procédure à suivre est très simple, il suffit
d’introduire son C.V dans la banque de données en line.
5- les débuts balbutiments de
e-banking au Maroc.
e-banking est un terme anglicique qui désigne les
services bancaires électroniques via Internet , elle gagne mondialement du
terrain et profitant de l’Internet naissant pour les nouvelles technologies,
commerce de même à faire de l’ombre aux banques classiques. Mondialement oui,
mais au Maroc , le chemin est encore long.
Rares sont en effet les banques qui
ont sauté la pas pour proposer de réels services de Home Banking. Mais on
trouve des établissements financiers à
taille un peu plus réduite que y ont vu bon levier de compétivité : Crédit
du Maroc, CIH et la BMCI.
Dernière en date, la filiale de la BNP (banque nationale de
paris) vient d’enrichir son site Web, lancé en avril 2000, d’un volet dédié aux
entreprises, BMCI entreprises. Cette partie du site de la BMCI permet aux entreprises
d’abonnées d’accéder à des informations détaillées sur leur compte via Internet
et de consulter toutes leurs transactions bancaires ou boursières, à peu de
détails près, ce que propose tous les services d’E-banking, de la place. Pour
CIH on-line va, lui jusqu'à offrir un outil de simulation des crédits bancaires
et de leurs intérêts, mais sans plus. La même chose pour crédit du Maroc.Net.
Les raisons de cette timidité sont
pour les analystes, toutes simples. D’une part le taux de pénétration
d’Internet dans les entreprises à plus forte raison chez les particuliers,
reste très faible au Maroc et rend les perspectives d’e-Banking très étroites
et limitées à une niche réduite de clients.
Autre raison particulièrement citée,
le vide juridique qui caractérise cette activité plus grave encore les banques
doivent garantir une stricte sécurisation informatique c’est en effet l’un des
points épineux de l’e-bankingt. Sans échanges à 100% fiables aucune banque ne
peut s’aventurer sur la toile. Les solutions existent mais leur fiabilisation
est complexe à mettre en œuvre faute de temps et de moyen. Certes les banques
qui offrent ces services exigent une identification et un mot de passe pour
accéder à la partie e-banking de leur site, mais s’abstiennent de permettre
toutes les transactions bancaires via Internet pourtant elles s’accordent
toutes avoir dans le Net, un passage incontournable de leurs activités.
Toutes les banques de la place
planchent d’ailleurs sur des projets similaires .
Pour Upline securities comme il à
explique Omar Qualine responsable informatique à upline : la banque
dispose d’un Site (WWW.Upline.co.ma.) depuis 99 qui permet d’offrir des
services à leur clients et d’être à jour ce qui concerne l’information boursière.
Le site est aussi un canal publicitaire pour la banque.
L’e-banking peut largement profiter
aux entreprises, dans un environnement marqué par la concurrence et la mise à
niveau constitue l’une de ses priorités majeure c’est l’un des avantages
principaux de l’E-banking concrétement il permet de visualiser en temps réel
les opérations rapatrier les extraites et prendre connaissance des avis
d’impayés ou des cours de devises. De plus elle facilite la gestion de
trésorerie notamment, en limitant les risques de dépassement et en plaçant les
excédents de trésorerie.
6-les transactions boursiéres en
ligne :
Bientôt les petits épargnants en
bourse auront la possibilité de passer leurs ordres d’achats ou de vente
on-line à travers Internet grâce a Net access, la filiale Internet de finances.
« Cette structure, dédiées au
développement des solutions métiers sur Internet est une combinaison
d’infomation financier-technologie » souligne M.Mohamed Khalid Ayouch
directeur général de finances.
Ce nouveau produit, qui vise selon
le responsables de finances, la démocratisation de l’information financière,
compte une plate-forme de passation d’ordre on-line. Ainsi permet à tout patit
porteur, lers informations dont-il à besoin pour prendr une décision et la
concrétiser, ce produit à leur clients et à leur permettra un un gain en temps
et en productivité quantifiable, car ils
ne perdront plus de temps à passer des ordres pour les petits porteurs, puisque
ces dernières le feront eux-mêmes.
Netaccess permettra à ses
utilisateurs une totale transparence étant donné que toutes les opérations se feront on-line.
La filiale du groupe de cette
forme de commerce électroniquen au niveau du marché marocaine est aujourd’hui
possible. Elle fait intervenir un grand nombre d’opérations, ce qui rend cette
technologie assez complexe (société et bourse, bourse de casa, back office de
la société de bourse, flux d’information financier…).
En dehors de netaccess, la
filiale du premiers groupe d’information financière aux Etats-Unis fournit aux
professionnels du secteur des logiciels d’aide à la décision destinés aux
intervenants front-office des marchés financiers et de logiciels de diffusion
d’informations nécessaires au traitement administratif des valeurs mobilier
pour les back-offices ainsi que les outils de valorisation et de suivi de
portefeuilles.
Il faut signaler aussi l’offre du
Wap qui est encore à ses débuts au maroc mais qui se propage de plus en plus.
Le célèbre système Wap (Wireless application protocole) est au cœur d’une mini-révolution, pour l’heure seule la BMCI offre un service Waapas
à ses clients, le crédit du Maroc était donné pour le second établissement à
vouloir pénétrer ce créneau alors que la banque commerciale du Maroc affiche
ses ambitions pour une offre Wap et ce au courant de l’année 2002.
L’objectifs est de consulter les différentes informations
boursières : (valeur de l’IGB volume global des transactions, cours des
valeurs cotées, les plus fortes hautes et baisses…) parallèlement d’autres sites
dédiés à l’information ont mis en place leurs propres Wap. Ainsi New.central,
un portail général d’information à lancer le sein où les différentes rubriques
de ce portail sont consultables , la stratgie de ce dernière, est de
mettre tous les atouts de son côté pour unéventuel rachat par un opérateur. De
son côté, Maroc Télécom à également introduit son produit Wap via le portail
Menara. Particularité de ce service : une information abondante (des cours
de changes aux prix des légumes en passant par la pharmacie de garde dans les
différents grands villes du Maroc).
Tout, ou presque devrait pouvoir
se faire se réserver ou se consulter à terme à partir d’un écran de téléphone
portable.
Cosmmer des technologies de
l’infomation est tout à fait salutaire
pour les entreprises qui « courent » après la compétitivité puisque
par l’intermédiaire du Net, celles-ci peuvent facilement améliorer leurs ventes
et faire des économies à tous les stades de leur activité. Le Web devrait
notamment mettre fin à la paperasse.
Il reste à savoir si
les textes de lois qui vont suivre seront aussi réactifs à l’image de la
dynamique d’un tel secteur des technologies de l’information.
Section 2–Le cadre juridique et
réglemetaire, sécurité et paiement :
A partir de la
date à quelle le gouvernement marocain à ouvert son premier site Web, en
juillet 96, il a commencé à reconnaître les effets profonds que les
technologies de l’information ont eus et cntinueront d’avoir sur le monde.
Le gouvernement s’est
également rendu compte que les technologies de l’information affecteront tous
les aspects importans de la société comme la culture, l’éducation, les services
services, l’emploi de l’économie, par conséquent il a crée en août 97 l’Agence
Nationale de réglementation des Télécommunications (ANRT) et lui a conféré le
pouvoir d’élaborer des lois sur les télécommunications et le cryptage. Cette
agence est placée sous l’autorité du 1er ministre et se considérée
comme un organisme de réflexion sur tous les aspects relevant des technologies
de l’information (TI) et du C.E.Y compris cux non inclus dans ces statuts. En
outre les secrétaires d’Etat chargé de la poste et des TI (SEPTI) a mis sur
pied une commission placée directement sous la tutelle du premier ministre de
guider et conseiller le gouvernement sur les réformes légales et
réglementataires nécessaires au Maroc pour intégrer pleinement le C.E et les
TI. Cette commission à élborer un plan des TI qui comprend :
-La préparation d’un cadre
réglementaire relatif au C.E, aux noms de domaine et au cryptage.
-Le développement d’un sytème
national pour l’allocatio de noms de domaine.
-Le lancement en collaboration
avec l’UNESCO, UNITU (union internationae du télécommunication des nations
unies) ety d’autres se parlements ministriels d’un projet de télé-enseignement.
-La participation du Maroc au
programme de C.E pour les pays en voie de développement mise en place par
l’UNITU.
- La participation du Maroc au
comit é consultatif gouvernemental sur les noms de domaine Internet.
-L’organisation en septembre 94
d’un atelier sir les obstacles au C.E pour les représentants gouvernementaux et
du secteur privé.
Le département des relations
économiques internationaes du ministère de l’industrie du commerce et
l’artisanat a aussi crée un comité des TI comprenait des représetants des secteurs privé et public dans
le but d’évaluer les changements requis pour que le Maroc profite pleinement du
C.E.
Le diagnostic sur l’aspect
juridique permettra de cerner le vide juridique en la matière et le combler
soit par le recours expériences d’autres pays qui ont réglementé le problème de
la valeur juridique des documents
électronique notamment par l’élaboration d’accords-types, soit par
l’incorporation des dispositions de la loi-type de la commission des Nations
Unies pour le droit commercial iternational.
Puisque le C.E est d’abord une
dématérialisation des documents de commerce
il faut à l’aide d’une loi-type faire en sorte que le droit de la
preuve ne soit plus l’écrit dans les
transactions commerciales effectuées par voie électronique, par conséuent un
modification des différents articles de loi des codes (civil, commerce,
douanes, la marine marchande) exigent l’écrit comme preuve est nécessaire en
vue d’y apporter des modifications. Les textes de loi prescrivent de conserver
les documents originaux pendant un certain nombre d’années selon le document en
question. Là aussi il faut qu’il ait la reconnaissance de la valeur probante de
l’archivage électronique, une autre possibilité serait d’avoir un « tiers
archiveur » à l’instar du « dépositaire unique » pour les tiers
immobiliers , le problème pouvant se poser est la nécessité de conserver
le matériel durant la période d’archivage exigée par la loi. Le principe de
cryptage doit être confier à une autorité gouvernementale (en France ministre
de la défense) qui enregestre les systémes de chiffrement (cryptage) et tient
la liste de société agrés en la matiére toute fois les responsables
gouvernementaux traitent la question des réformes légales avec beaucoup de
précaution. Dans certain cas cette prudence est requise par le centre des
nations unies pour le commerce et le développement (CNUCED) et d’autres
organismes, sont entrains d’élaborer des standards des internationaux de
cryptage.
Pour la propriété intellectuelle, il
apparu clairement que la loi actuelle sur la protection des droits d’auteur en
vigueur au Maroc ne fournit pas assez de protection au secteur privé et ne
traite pas de la protection des logiciels, malgré le succés des actions en
justice entreprises par des sociétés comme Microsoft afin de garantir leur
droits à la propriété a travers les lois marocaines sur les marques déposées.
Les sanctions stipulées dans le cadre actuel de la propriété intellectuelle ne
garantissent pas une dissuasion efficace et à long terme contre le vole de la
propriété intellectuelle. Le Maroc a besoin de considérer la protection qu’il
offre à la propriété intellectuelle et de l’adopter aux standards
internationaux afin d’etre considéré favorablement par le secteur de la
haute-technologie, comme un pays apte à mener des affaires.
Toutes fois, la loi Marocaine ne
reconnait pas la signature électronique par consequent, la validité d’un
contrat signé par voie électronique est remise en question, en outre le
paiement par voie électronique est actuellementimpossible au Maroc, avant qu’un
fournisseur ne percoive son paiement pour une transaction par carte de crédit
il doit demander au client de seing une facture et fournir à la banque une
copie papier de cette facture avant d’encaisser le paiement.
Tous ceci malgré que les opérateurs
informatiques nationaux semblent vouloir accélerer le développement du
e-Business et proposent déjà des solutions pour les entreprises qui cherchent à
se positionner sur ce marché.
IBM-Maroc a lancé récemment un
Pack-e-business PME qui comprend :
+la messagerie/Internet /Internet
permettant à toute entreprise de mettre en œuvre sa messageire électronique et
ses première applications en C.E.
+Le pack C/E formé du logiciel IBM
net commerce start et d’un serveur Net finity.
Ce pack est livré avec tout
l’environnement nécessaire pour créer un site commercial, la mise en place d’un
catalogue, le paiement en ligne, l’administration commerciale du site et la
fourniture de stastiques, de fréquences de ventes.
Par ailleurs les opérateurs dans le
domaine du paiement électronique,
apportent des systèmes de signature électronique , assurent la
confidentiabilité du message. L’authentifications de l’émetteur et l’intégrité
des messages envoyés. A ce stade high technologie payement système offre les
trois normes de cryptage : SSL
(secure socket layer ) cette (secure électronique transaction et C-SET (chip
secure électronique transaction) pour assurer la sécurité des donnés échangés.
Ainsi AIM (aotoroutes de
l’information et multimédia) à lancer
dernièrement la possibilité de créer et gérer son compte en ligne grâce aux
cartes prépayées Internet . elles sont simples d’utilisation, facilitent la
procédure d’abonnement et permettent une plus grande indépendance aux
utilisateurs d’Internet.
Dans la journée d’étude sur le C.E à
rabat le 3 juin 2002 un atelier à fait
une recommandation très important qui porte sur la formation au profit des
juges et magistrats dans le domaine de l’informatique pour qu’ils puissent
intervenir en cas de litiges. Donc il est perfectible au grès de l’évolution
très rapide de la technologie, le Maroc s’emploie actuellement à revoir et à
proposer des réformes relatives au C.E, il étudie les lois en vigueur dans d’autres pays et dans et dans des
organisations internationales et s’en inspirer pour ses propres textes
législatifs que le C.E facilite non seulement le développement du C.E nationa
mais aussi à l’échelle mondiale toutefois, d’autres aspects de la loi marocaine
constitue un véritable obstacle comme la convertibilité du Dirham.
Internet est l’un des piliers
majeurs de la nouvelle économie, certes on ne peut pas comparer aux Etats-Unis,
mais la révolution du Net reste une opportunité sur les pays en voie de
développement, cas du Maroc, pour rattraper le train de développement.
Malheuresement, celui-ci accuse du
retard à ce niveau malgré les efforts déployés par quelques opérateurs privés.
Plusieurs facteurs freinent le
développement de l’informatique en général et dInternet en particulier. Les internautes marocaines ne
sont pa nombreux dans un pays qui compte plus de 28 millions d’habitants. Maroc
Télécom estime leur nombre à près de 250.000 personnes, à cela s’ajoute un parc
informatique très faible , selon saâd regragui responsables marketing à IEC Marketing,
le parc informatique national varie entre 450…et 500.000 Pc dont 50.000
seulement sont connectés soit 10% du
total des PC. La part de marché des particuliers est très faible malgré les
facilités de crédit et le nombre des Pc reste insuffisant pour accompagner le
développement numérique mondial.
Au Maroc les multinationales sont
les premiers à utiliser ce nouveau média. Pour ce qui est des entreprises marocaines plus de la moitié ont accès à
l’Internet et dispoent d’un site Web . mais le fait d’être connecté ne signifie
pas obligatoirement qu’on ait intégré cette technologie au niveau de sa
gestion. D’ailleurs jusqu’au quel point l’entreprise marocaine profite
d’Internet ? la réponse est décevants du faites que dans 50% des
entreprises marocaine, le réseau des réseaux est réservé la direction généralee
et parfois aux hauts cadres, de plus pour plusieurs entreprises marocaines .
Internet reste univers ludique est
non un facteur de développement économique, le problème avec les NII est qu’il
n’est plus toujours facile de s’y trouver, mais ce que nos entreprise et
administrations doivent savoir, c’est que les atouts du net se limitent pas à la
messagerie et les recherches à but informatif.
Pour les nouveaux métiers utilisant
l’outil Internet tels que le e-publicité ou le e-commerce sont en-cours de
construction au Maroc. Pour la publicité en ligne son succès dépend beaucoup du
nombre d’internautes qui consultent les sites Internet. En ce qui concerne le
C.E plusieurs entreprises marocaines sondées par TEC marketing sont prêtes à
rechercher des produits ou services via Internet dans le cadre de leur activité :
« pour que l’Internet devienne un secteur porteur de richesse il faut
qu’il y ait plus d’internaute et que
Maroc Télécom baisse les prix de facilit é d’accès à l’Internet »
explique Mohamed Ben boobker, directeur général de frlance.com.Maroc.pour ce
dernier il existe une prédisposition chez les marocaines pour accompagner le
développement de l’Internet mais les prix ne sont pas encore compétitifs.
Selon plusieurs organisations
internationales dont la banque mondiale, le Maroc dispose d’un fort potentiel
de développement, il peut être un dragon en la matière de NT si tous les
Marocaines s’accrochent au train de la nouvelle économie. La balle est dans le
champ des responsables marocaines pour s’ouvrir plus sur le monde du Net.